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SKÁLD fera son retour sur scène en 2022 avec sa première tournée européenne et russe qui passera par le Hellfest et Le Trianon (Paris) mais aussi par Amiens, Vannes, Caen, Lille et Lyon.

Fondé en 2018, SKÁLD s'est ancré dans le paysage musical international en donnant un nouveau souffle à l'esprit viking. Son neofolk s'exprime par des chants en vieux norrois et l'utilisation d'instruments anciens, comme les tambours chamaniques, le talharpa et le jouhikko (lyres à archets d'origine scandinaves).

Justine Galmiche (chant) par Die Frau

Après deux albums et un EP, SKÁLD sortait le 29/10/2021« Winter Songs », un cinq titres qui célébrait le solstice d'hiver.

Les billets pour la tournée sont ouverts ICI.

Le groupe de thrash/groove metal Phenomy a sorti ce mois-ci un nouveau single-clip intitulé « Ominous ».

Après « The Mute, The Deaf, The Blind » et « Bone Orchid », c'est le troisième single choisi par ce combo libanais pour annoncer « Syndicate Of Pain », un concept album qui sortira le 03/03/2022.

Cet opus nous emmène dans un institut dirigé par le Dr Anton Shuman, scientifique pervers qui manipule des criminels et des patients fous dans son établissement.

« Syndicate Of Pain » sera le troisième album de Phenomy qui, depuis sa formation en 2014, a déjà tourné en Roumanie, Croatie, Hongrie, Bulgarie et Serbie et participé à quelques grands festivals comme le Wacken.

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 Voici un projet de rock progressif et celtique qu'on imaginerait faisant ses premiers pas quelque part sur les côtes bretonnes, c'est pourtant en méditerranée qu'il voit le jour, Erewän est en effet un songwriter multi-instrumentiste Niçois qui a sorti sous ce pseudonyme sa première démo, « Bathing In The Light », en 2017.

Il revient aujourd'hui avec un album dont il a lui-même conçu l'artwork :

« How Will All This End ? »

Erewän y développe en une cinquantaine de minutes la part sombre des hommes. Il précise :
«  C'est une histoire contre la violence, la guerre, la haine absurde et les comportements entre humains. Une plongée profonde dans la nature psychologique humaine et ce qu'elle a pu engager dans l'Histoire. Les paroles et la musique entraînent le public dans une réflexion poétique, s'interrogeant sur des situations dramatiques absurdes. Et toujours, en toile de fond : beauté de la nature... »

Pour l'accompagner, Erewän a fait appel à Alexandre Lamia et Eric Bouillette, tous deux membres du groupe de prog' Nine Skies.
L'album commence par un instrumental assez inattendu et planant, qui pose en toile de fond une flute et des guitares floydiennes. Les influences celtiques sont agréablement restituées dès le second morceau (« Childhoods », « The Banshee’s Keening », « Highlands » ) sans toutefois qu'Erewän n'en saupoudre l'ensemble. 

Le timbre de voix qu'on découvre alors est intéressant et léger. Si la guitare mélodique est reine, elle est néanmoins bien épaulée par la flute, puis par un piano et un violon qui donnent du contraste pour rappeler l'intention dramatique de l'ensemble (« Headline »). « Evil in Us » fait monter l'intensité en l'apparition de l'harmonica, mais l'opus garde une certaine hauteur poétique qui lui donne de la légèreté. Ainsi entre ballades, musique progressive et ambiances celtiques, Erewän réussit avec ce « How Will All This End ? » un album délicat et homogène au charme particulier qui saura vous entraîner sans difficulté dans son univers interrogatif mais somme toute apaisé. A découvrir.

Les critiques en disent :

• « Les influences celtiques et rock progressif se côtoient habilement en mélangeant allègrement les ambiances, dans des compositions finement ciselées remplies d’une émotion à fleur de peau ! »
  ProgCritique

Tracklist :

1. Rising sun on the Shore
2. Childhoods
3. Walk Away
4. Headline
5. The Banshee’s Keening
6. Witches of the Middle-Ages
7. Twist of Fate
8. Evil in Us
9. Highlands

Line-Up :

• Erewän: Chant / Guitares / Basse / Batterie / Flûte

Guests :

• Alexandre Lamia: Guitares
• Eric Bouillette: Violon

Technique :

• Enregistré par Erewän et Alexandre Lamia
• Mix and master : Alexandre Lamia | 2021
• Artwork © Erewän

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Basé à Chicago et fondé en 1990, le groupe de death metal DISINTER sortira « Demolition », son nouvel album, le 26/01/2022.

« Demolition » est une compilation de trois démos inédites, comprenant chacune trois morceaux, enregistrées au cours des trois dernières années.

Mike LeGros (guitare) explique :

« Nous avons investi trois studios d'enregistrement, un par an, au cours des trois dernières années, enregistrant deux nouvelles chansons et réenregistrant une chanson plus ancienne, à chaque session. Demo I 2019, Demo II 2020 et Demo III 2021 sont le résultat final et ont été compilés pour une sortie sur Pest Records . « Demolition » présente notre premier nouveau matériel depuis plus de quinze ans. Nous attendons avec impatience cette sortie qui ira de pair avec notre sixième album complet « Breaker Of Bones ». Nous sommes heureux de travailler avec un label underground comme Pest Records, et reconnaissants qu'ils aient eu intérêt à travailler avec nous, pour rassembler ces enregistrements de démo pour cette sortie. »

Tracklist :

Demo 1 2019 :
DEMOLITION OF THE MIND
DEAD INSIDE
DISINTER

Demo 2 2020 :
RED QUEEN
THE HELL WE’VE BECOME
DEMONIC PORTRAITURE

Demo 3 2021 :
REANIMATE THE RAVENOUS
THE CURSE OF ETERNAL NIGHT
BREAKER OF BONES

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Disponible depuis le 10/12/2021 chez M&O Music, « Tropical Fuzz » est le nouvel album du duo anglo-brésilien Yur Mum.

Ce duo se compose de Fabio Couto (batterie/chant) et d'Anelise Kunz (chant/basse).

Petit panorama de l'album :

• « Banana Republic » est la première piste. Elle a donné naissance à un clip :

• « Tropical Fuzz » est un titre énergisant, aux rythmiques tribales et au chant énervé. Le son saturé lui donne une belle patine.

• « Kiss And Tell » est posé et sombre, tirant vers le rock façon L7.
• « Dig Deep » reste dans la mouvance punk et durcit le ton sur la fin. C'est particulièrement efficace.
• « Sweatshop » date de 2019. Il enfonce le clou de la puissance, faisant montre d'une énergie considérable. La guitare d'Akos Gado fait son apparition pour un long solo.

• « Black Rainbow » marque le pas dans une composition - comme son nom l'indique - très noire. Même sur un tempo plus lent. Le duo n'économise pas son énergie.

• « Crazy » repart doucement, cherchant son souffle pour accélérer à nouveau.
• « Je Ne Sais Pas » propose de belles lignes d'une basse haletante qui ne s'arrête que pour mieux repartir. On espère que le groupe réussira à passer entre le Brexit et la pandémie pour jouer ce morceau devant un public français auquel il fait évidemment de l'oeil...
• « Happy Mantra » commence comme un vieux hard, mais part rapidement en rock avec des secondes voix d'une grande efficacité. Le morceau se colore d'un swing sur le pont médian.
• Essentiellement instrumental, « Rio '69 » joue parfaitement son rôle d'outro. Il aurait eu sa place dans un film de Tarantino.

Il ne manque rien à la formule trouvée par ce duo de choc, parfaitement en osmose et gonflé à bloc. Le songwriting respire l'inspiration et l'interprétation sent le métier et le talent. L'album est impressionnant d'énergie et  de groove. « Tropical Fuzz »  est une belle réussite punk-rock, avec un petit plus d'alchimie qui suscite l'adhésion. Ca fonctionne à plein et on recommande !

Nos pistes préférées :

« Tropical Fuzz », « Dig Deep », « Sweatshop », « Je Ne Sais Pas », « Happy Mantra ».

Les Critiques ont dit :

• « Explosif du début à la fin. »
  Rock'n Force

• « Yur Mum s'est taillé une place à part par sa façon de s'accorder et d'utiliser ses instruments. Cet album le montre parfaitement. »
  Devolution Magazine

• « Une explosion d'énergie entraînante et punk qui fait du bien. »
  Aural Aggravation

Discographie :

• « Road Rage » (2018)
• « Ellipsis » (EP - 2019)
• « Tropical Fuzz » (2021)

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Le quatuor britannique de rock alternatif Our Propaganda a sorti en ce début décembre son troisième single « Essential Love ». 

Jack Denton explique :

« Il s'agit simplement de l'amour pour un partenaire, de la façon dont il vous fait percevoir de nouvelles choses et vous permet de devenir une personne plus mature. C'est ainsi que l'on peut se sentir complètement hors de ce monde. L'amour est aveugle mais des leçons sont toujours apprises, que vous le sachiez ou pas. Tout le monde a quelques mentors romantiques dans sa vie et chacun d'entre eux nous confère des connaissances précieuses. »

Tirant ses influences de Biffy Clyro, Royal Blood, Twenty One Pilots et de nombreux artistes britanniques emblématiques, Our Propaganda cultive depuis 2016 un mélange de rock alternatif indépendant, ayant déjà joué dans plus d'une demi-douzaine de pays à travers l'Europe.

Succédant aux singles « Fast Food At Midnight » et « Summer In Herrenberg », « Essential Love » annonce l'arrivée d'un premier album du groupe de Southampton enregistré par le producteur Steve Lyon (Depeche Mode/The Cure), et mixé par l'ingénieur du son et ingénieur du son nominé aux Grammy Jonas Westling.

Line-Up : 

• Jack Denton
• Harvey Groom
• Joe Newman
• Charlie Denton

Le Lien :

• http://smarturl.it/OPessentiallove

(Je dédicace cette chronique à Didier Izard chanteur de H-Bomb, ce groupe qui aura enflammé ma jeunesse et qui fait aujourd’hui éternellement partie de mon ADN metalik musikal. RIP « Dizzy »).

Groupe : Existance
Album : « Wolf Attack »
Genre : Heavy Metal / Hard Rock  
Influences : Judas Priest / Iron Maiden / Saxon / Accept / Sinner / Manigance
Origine : Clermont-de-l'Oise (2008)
Sortie : 29/10/2021

Par Pépé St@kaTTo

EXISTANCE par Michael Callewaert

Line-up actuel :

• Julian Izard (chant, guitare)
• Antoine Poiret (guitare)
• Julien Robilliard (basse)
• Géry Carbonnelle (batterie)

Anciens membres :

• Fred Labasque (guitare)
• Axel Revillon (batterie)
• Laurent Louvrier (batterie)
• Julien Marchant (batterie)
• Thomas Drouin (basse)

Discographie :

• Existance (CD 2011)
• Steel Alive (CD 2014)
• Breaking the Rock (CD 2016)
• Wolf Attack (CD 2021)

• Artwork Mario E. Lopez (Nemedian Chronicles/Game Over/Surgikill/Mindward)
• Production François Merle (Manigance) et Mastering de Jacob Hansen.

Tracklist :

01.Highgate Vampire - 02. Deathbringer - 03.Power Of The Gods - 04.Rock’n’ Roll - 05. Jenny's Dreams - 06.Sniper Alley - 07.Preacher Of Insanity - 08.You Gotta Rock It - 09.Wolf Attack - 10.Tears Of Fire - 11.Gwendoline

Au premier abord Existance semble sonner comme un vieux groupe de Hard Rock des 80's, cette époque bénie des Dieux du Métal. C’était vrai pour les premières compositions du groupe, mais Julian et ses complices ont su au fil des ans étoffer leur son, donner plus d’ampleur à leur morceaux et greffer leurs propres gènes à cet ADN du « Metal Hexagonal » si riche depuis quatre décennies maintenant.
L’origine d’Existance prend ses sources avec Didier Izard, paternel de Julian, chanteur du célèbre groupe H-Bomb (de 1982 à 1985, deux excellentissimes albums au compteur : « Coup de métal » et « Attaque »), et qui est tragiquement décédé en 2018 ; autant dire que Julian a été bercé très tôt au Hard Rock.
C’est donc en 2008 que démarre l’existence… d’Existance (bien noter le « a » qui se substitue au « e », une façon géniale de garder la phonétique et de simplifier les recherches). La phase de créativité durera deux ans avec une première démo de quatre titres et plusieurs concerts à la clé. Après un premier changement de batteur, le groupe picard sort enfin en 2011 leur premier album « Existance », suivi par « Steel Alive » en 2014, « Breaking the Rock » en 2016 et « Wolf Attack » en octobre 2021 sur le Label Black Viper records, galette que nous allons faire tourner aujourd’hui.

• « Highgate Vampire » et son intro digne de l’ambiance de « Snowman » de Rainbow  ou de « Follow the sign » d’Helloween, attaque très fort avec le chant haut perché dans les aigus de Julian, un riff d’intro surpuissant et une rythmique bien bétonnée. Une entame d’album très réussie et un fabuleux clip pour le promouvoir !

• Le très teutonesque (dans son approche) « Deathbringer » nous annonce l’Apocalypse dans ce morceau Heavy/Trash à souhait. Appuyé par des chœurs martiaux la voix de Julian est toujours aussi chaude et parfaitement posée, les leads tantôt sirupeux tantôt abrasifs sont pilonnés par une batterie carrée. Le pont relancé par une ligne de basse monstrueuse va conclure ce titre par une rafale de soli guitares explosifs.
• « Power Of The Gods » dont le riff de toute beauté me rappelle l’excellent morceau « Powergame » de Tokyo Blade, et l’ajout d’arpèges en son clair sur le début du chant enjolive de façon étonnante ce titre très accrocheur. C’est mélodieux et couillu à la fois. Les guitares se déchainent tout au long du morceau sur des riffs qui resteront à mon avis « d’anthologie » tant ils collent à ce Heavy Metal qui nous est cher et qui devraient trouver toute leur puissance en Live.

• Avec « Rock’n’Roll » la voix ensorcelante de Julian enjolivée par un refrain qui raisonne comme une véritable ode au rock, une déferlante de riffs telle une avalanche en montagne, une basse/batterie surmultipliées, Existance bascule dans un Glam-Rock et sonne comme le meilleur des groupes US. C’est beau comme une permanente dans le vent, un moule-burnes léopard neuf… un titre qui devrait faire un hit et cartonner en concert !
• On retrouve également avec « Jenny’s Dreams » une composition ultra-mélodique, teintée de Glam-Rock, avec des chœurs doublés sur le refrain, une basse omniprésente qui perce au mix, une batterie bien mise en avant qui martèle inlassablement son rythme (bravo Géry !), et toujours ces puissants « twin-guitars » que l’on retrouve sur chaque morceau.
• Le très Maidenien (par ses riffs d’intro) « Sniper Alley » poursuit la virée de ce sublime « Wolf Attack », la structure du morceau se rapprochant ensuite rythmiquement de ce que peut faire Accept. A noter le pont en « twin-guitar » de toute beauté et un final en arpèges sons clairs qui nous ramènent de nouveau tout près des contrées mystérieuses de « la Vierge de Fer ». Même si indéniablement on sent beaucoup d’influences, Existance a su encore ici bâtir ce titre à sa sauce sans tomber dans le plagiat.
• « Preacher Of Insanity » quant à lui lorgne sur le Speed avec sa rythmique « double-time feel » endiablée, parties de tapping déchainées, soli cataclysmiques en rafales. Un titre qui vous fera assurément headbanger jusqu’à la piste suivante, la n°8 !
• « You Gotta Rock It » est à mon avis le morceau qui vous fera complètement apprécier cet album. Très « Acceptien » dans sa structure, son refrain porté par la puissance vocale de Julian est un véritable hymne au Hard Rock de notre jeunesse (pour les plus vieux, s’la va de soi !). Le pont tout en arpèges, est monté ici en épingle par des soli de toute beauté. Je ne serai pas surpris de vous voir taper du pied en cadence tant c’est punchy à souhait !
• « Wolf Attack » qui donne son titre à l’album débute sur une intro guitare avec une superbe rythmique en phasing, sur laquelle vient se superposer de sublimes arpèges de basse. On retrouve ensuite nos fabuleux « twin-guitars Maideniens ». Encore un superbe morceau qui fait la part belle aux guitares !

• En plage 11 on lance « Tears Of Fire » la power-ballade de l’album ! Celle-ci débute au piano, et on pense immédiatement à une intro à la Bon Jovi, les notes sont mélancoliques, la voix de Julian est empreinte de tristesse, les parties de guitares acoustiques et électriques transpirent d’émotions. Là où certains verraient de la mièvrerie, un morceau mielleux, véritable point faible de l’album, je les encourage à lire les paroles pour comprendre que ce titre est un vibrant hommage au papa de Julian, dont la disparition tragique est un véritable déchirement. Pas facile pour un Hardos de se mettre à nu, et d’étaler ses sentiments, bravo donc pour ce sublissime morceau qui, je n’ai pas honte de le dire, est l'un de mes titres favoris.
• Pour rester dans l’hommage filial, Existance a tenu à graver sur cet album la reprise d’H-Bomb « Gwendoline » morceau réclamé maintes fois et qu’ils ont d’ailleurs joué en concert.

La vie d’Existance depuis son origine n’aura cependant pas été un long fleuve tranquille, changement de line-up (quatre batteurs), changement de label, disparation de proches, un vilain virus mutant qui aura figé la sortie de l’album et annulé plusieurs concerts… A l’instar du loup « balafré » et blessé de la pochette, notre quartet toujours debout continue inlassablement de nous distiller ses brûlots Hard & Heavy teintés 80's pour notre plus grand plaisir.
La voix de Julian a gagné en puissance, l’arrivée de Géry Carbonnelle au nouveau poste de « cogneur » a amené un regain de fraîcheur dans la section rythmique, quant aux parties guitares et basses, elles ont pu bénéficier au niveau de l’enregistrement de la grande expérience de François Merle.
Et, même s’il aura fallu attendre cinq ans avant que ce petit bijou n’atterrisse dans les bacs et ne fasse un saut sur notre platine, notre patience est pleinement récompensée car « Wolf Attack » qui marque enfin la maturité d’Existance devrait trouver tout la considération qu’il mérite par son entrée dans le carré très fermé des meilleurs groupes Métal Hexagonaux.  
Un excellent album que je vous conseille fortement d’écouter et d’acheter et qui devrait trouver tout naturellement sa place dans votre discothèque à côté des Warning, H-Bomb, Sortilège, Judas Priest, Maiden…

MATOSCOPE :

• Julian : guitare Peavey Vandenberg Signature Serie II (vibrato Kahler Spyder+micros EVH Wolfgang en bridge/DiMarzio Air Norton V en neck) accordage en Eb - amplification Kemper & tête EVH 5150.
• Antoine : guitares Kramer JK1000 (vibrato Takeuchi+micros DiMarzio : Super Distortion en bridge/DiMarzio Air Norton V en neck) & Charvel en spare - amplification Kemper & tête ENGL Fireball

Le Lien :

• https://existanceband.com

Signés chez Rockshots Records , le groupe de speed power metal italien Vanderlust sortira son premier album au printemps 2022.

Le groupe explique :

« Nous avons essayé de mélanger un riff prog-thrash à nos racines de Megadeth, Vektor et Tool, avec des parties vocales épiques comme Iron Maiden, Helloween, Angra et Lione Rhapsody. Nous avons également intégré des éléments de science-fiction dans nos chansons, afin que vous puissiez entendre aussi quelque chose de Voivod. »

Ce premier enregistrement est conçu comme un système stellaire avec douze planètes différentes. L'étoile au centre du système représente le heavy-power metal autour duquel gravitent des pistes qui, si elles sont irradiées de la même lumière, proposent un univers différent. La chanteuse d'opéra Letizia Cappellini, présente sur certains morceaux, aide le groupe à élargir le registre vocal de ses compositions.

Aujourd'hui Vanderlust dévoile son premier single, « Scavengers of Kuiper Belt ».

Il précise le sujet, transposition de l'univers de Tolkien dans l'espace :

« Dans l'univers Vanderlust, les Scavengers sont les employés d'une grande entreprise qui opère sur de nombreuses planètes et colonies à travers le système solaire. Leur histoire commence au XXIème siècle alors que leur tâche principale est de capturer tous les débris spatiaux en orbite terrestre. En raison d'une organisation commerciale aux règles de recrutement bizarres, l'entreprise s'est transformée en une sorte de tribu au cours des siècles. L'importance des Scavengers est devenue de plus en plus grande et, à l'époque de notre histoire, ils effectuent plusieurs tâches importantes, notamment sur la Ceinture de Kuiper à la recherche des Glaces (grands objets gelés en orbite dont on extrait de l'énergie et des matières précieuses). Les personnages principaux de notre histoire sont deux charognards au cours d'une journée de travail type. Pour pallier l'ennui de la journée, ils décident de lancer un concours pour trouver la glace la plus rentable en un minimum de temps. Mais voici quelque chose qu'ils n'ont jamais vu... Un objet vraiment étrange, un objet très précieux... très précieux... »