JOHN DIVA & THE ROCKETS OF LOVE (glam metal), The Big Easy (17/03/2023)
JOHN DIVA & THE ROCKETS OF LOVE (glam metal), The Big Easy (17/03/2023)
Le 28/06/2023
« The Big Easy » n'a rien d'une plaisanterie, et la facilité avec laquelle John Diva & The Rockets Of Love appliquent la patine à leur glam 90's est simplement admirable.
Par Ahasverus
JOHN DIVA & The Rockets Of Love est un groupe de glam metal allemand.
Son chanteur/fondateur John Diva aurait été roadie, puis coach vocal, il aurait même participé à l'écriture de morceaux pour des groupes comme Kiss, Guns N'Roses ou Bon Jovi. Il l'explique à 80's Babies : « C'était vraiment passionnant, et j'ai eu la chance de pouvoir gagner beaucoup d'argent en faisant ça, et de rencontrer beaucoup de personnes. C'est un travail fantastique, mais au bout d'un moment il me manquait quelque chose. » (Retrouvez l'intégralité de cette interview ici : https://www.facebook.com/watch/?v=336743870293108)
Ce qui lui manquait, c'est The Rockets Of Love, jouant à fond les clichés glam metal avec des musiciens qui s'appellent J. J. Love et Snake Rocket (guitares), Remmie Martin (basse) et Lee Stingray (batterie).
Un premier album sort en 2019. Son titre ? « Mama Said Rock Was Dead » !
John se souvient chez Music Waves : « Ma mère - qui était une mère célibataire qui travaillait dur, une vraie fan de rock qui m’a toujours soutenu dans tout ce que je faisais - j’allais sortir avec ma guitare - elle était triste, un peu saoule et certainement le cœur brisé - m’a dit "Hey, Johnny, ne perds pas ton temps à faire du rock’n’roll, le rock est mort !". Et j’ai probablement voulu lui prouver qu’elle avait tort ! »
Si John s'avoue fan ultime de Van Halen période David Lee Roth, ce premier album définitivement ancré dans le glam metal 80/90's est musicalement plus proche de Bon Jovi (le timbre de voix), de Def Leppard (« Dance Dirty »), d'AC/DC (« Long Legs In Leggings »), tandis qu'un « Rocket of Love » aurait pu faire les affaires d'Aerosmith.
John revient avec Heavy Music HQ sur ce premier album : « Mama Said Rock Was Dead était un tourbillon fou, comme tout ce que vous faites pour la première fois. Un début est un début et vous et le reste du monde entendez votre groupe pour la première fois sur bande. »
S'il joue des clichés visuellement, John Diva & The Rockets Of Love n'a rien d'un Steel Panther, et ce premier album aurait vraiment pu se trouver dans les bacs à disques du début des années 90.
Mais il est temps de passer au deuxième album. Il arrive en 2021. Il s'intitule « American Amadeus ».
Ce nouvel opus fait des propositions instrumentales légèrement plus complexes dans les orchestrations, le groupe allant jusqu'à proposer une version orchestrale du morceau-titre de l'album, tandis que John Diva cherche son inspiration aux mêmes sources.
Le timbre de voix rappelle toujours furieusement Bon Jovi (« Blond Black Red Brunette »).
Enfin le 17/03/2023, John Diva & The Rockets Of Love reviennent avec un troisième album à la pochette acidulée, sur laquelle The Rockets Of Love voient leurs visages taillés dans le granit à l'instar de Deep Purple sur « In Rock ».
Première constatation : la production n'a pas fait d'économies sur les basses et la batterie qui vibrent et qui cognent.
Après un lancement pépère, l'introduction de « God Made Radio » sonne comme un gros cube sur une chanson de Mötley Crüe.
L'ombre de Bon Jovi est toujours omniprésente (« Back InThe Days », « Hit And Run »), bien que l'on puisse penser que la patte de Hannes Braun (Kissin' Dynamite) n'est pas pour rien dans « Runaway Train ».
Quoi qu'il en soit, la facilité avec laquelle John Diva & The Rockets of Love savent faire la tambouille façon 80's/90's est étonnante. D'autant que les Allemands enchaînent les bons morceaux (« Thunder ») et savent jouer des détails, des choeurs, des râles, tous travaillés à la perfection.
Servi par un son avantageux, « The Big Easy » plaira à ceux qui regrettent Bon Jovi (plutôt période « Destination Anywhere » que période « Slippery When Wet ») et aux amateurs d'un glam metal bien fichu qui préfèrent la perpétuation du moment plutôt que sa régénération. Ils ne se laisseront distraire ni par l'aspect pantalonnade du look des musiciens ou de la pochette, ni par la légèreté grivoise des titres (« Boys Don't Play With Dolls »), car musicalement « The Big Easy » n'a rien d'une plaisanterie, et la facilité avec laquelle John Diva & The Rockets Of Love appliquent la patine à leur glam 90's est simplement admirable.
Tracklist :
01 California Rhapsody
02 The Big Easy
03 God Made Radio
04 Runaway Train
05 Thunder
06 Believe
07 Back In The Days
08 Hit And Run
09 Boys Don’t Play With Dolls
10 The Limit Is The Sky
11 Capri Style
12 Wild At Heart
Avec un chanteur dont le phrasé peut rappeler Bon Scott et dont les pauses évoquent Mick Jagger, The Bites ne réinvente pas : il lorgne effrontément sur le répertoire du rock 70/80's.
Par Ahasverus
Une pincée de The Rolling Stones (« Do Me A Favor »), un peu de Mötley Crüe (« Knockin' On The Door », « Heather Leather »), beaucoup de AC/DC (« Pretty Boys », « Love Affair », « Cold Clean Lady », « Squeeze »), c'est le crédo de The Bites, formation fondée en 2019 par le batteur Mark Hylander et par le chanteur Jordan Tyler. Ce dernier explique :
« En faisant ce disque, Squeeze, je voulais vraiment créer quelque chose d'intemporel. L'expression « Rock is dead » a été tellement exagérée. Toute la musique avec laquelle nous avons grandi, celle des légendes du rock des années 60, 70 et 80, nous l’avons entendue encore et encore, au point qu’elle fait désormais partie de nous. Nous voulons offrir aux fans quelque chose de spécial avec Squeeze. Lorsque vous entendrez cet album dans son intégralité, pour la première fois, nous espérons qu'il vous procurera l'excitation et la joie des albums que vous écoutez depuis des décennies. »
Avec un chanteur au phrasé qui peut rappeler Bon Scott et dont les poses évoquent Mick Jagger, The Bites ne réinvente pas : il lorgne effrontément sur le répertoire du rock à la charnière des décennies 70/80. Les dix compositions proposées sur ce premier album ont su retenir l'attention du label Earache (Black Star Riders, Buckcherry), et si leur assemblage ne suffira pas à en faire l'album de l'année elles présentent cependant un profil prometteur et suffisamment affirmé pour faire entrer ce jeune groupe américain directement dans la cour des grands. Une carte de visite plutôt bien fichue que les amateurs de glam, de hard 70's, et plus généralement de bon vieux rock, feraient bien de ne pas mettre au clou
Dans un cadre idyllique en pleine pinède Daudet sur Peymeinade (06), espace naturel mais aménagé pour l'occasion, la Tribal Roch Association, qui vient d'ailleurs de fêter ses 22 ans d'existence, nous a proposé le 26 août dernier la 18ème édition du TRIBAL FESTIVAL.
Encore une fois, et plus particulièrement cette année, Marco Le Rolle a su tenir de mains de maître le projet 2023 avec un line-up varié et d'une qualité qui vous donne des frissons. A vous d'en juger!
En parallèle des cinq concerts qui décoiffent sans mistral, un stand de merchandising où il est conseillé de se procurer albums, t-shirts et autres en direct auprès des groupes, la restauration rapide pour ne pas flancher au vu de l'énergie libérée lors des heures de headbanging, de hurlements, à gigoter dans tous les sens, un stand de disques et même de bijoux artisanaux. Rien n'est laissé au hasard.
La lourde tâche d'ouvrir le festival revient à la formation niçoise qui est loin de s'en émouvoir de stress, tant son expérience des scènes commence à compter depuis 2016, date de sa formation. Les quatre membres mais aussi amis :
Pat Gioan: Chant / Basse
Pierre Pizana: Batterie
Sonny Micucci: Guitares
Yann Vautrin: Guitares
écument les scènes locales et nationales, Rock N' Eat, Elysée Montmartre, Hellfest et bien d'autres. Ce soir ils piétinent d'impatience pour nous livrer leur set de 8 titres, et je peux vous garantir que si les quatre garnements avaient pu arrêter le temps pour faire durer ce moment, ils ne seraient certainement pas gênés tant leur envie d'en découdre en première partie des Américains d'ALCATRAZZ, était perceptible. Pour ceux qui ont déjà vu cette formation, nul est de rappeler qu'elle sait sortir les crocs et piétiner les planches, une manière bien rockeuse de se faire plaisir et d'offrir au public un moment d'échange et de magie.
1. Back to Real Volume 1 : Get Dirty EP 2
2. Wet and Late Too Big To Handle EP1
3. Moaning Hard Let Me In (I Know Someone Inside) album
4. Get Dirty (Wild And Nasty) Volume 1 : Get Dirty EP 2
5. Hot Mom Volume 2 : Hot Mom
6. Let Me In (I Know Someone Inside) Let Me In (I Know Someone Inside) album
7. Hurricane Let Me In (I Know Someone Inside) album
8. Balls Out Too Big To Handle EP1
Le leader Pat GIOAN, chant et basse, a bien voulu répondre à quelques questions lors de cet évènement. Dam'Aël vous en livre le contenu dans cette vidéo :
Mené par Sarah et ses cris de rage revendicateurs, Underground Therapy prescrit son néo-rock en guise d'anxiolytique. N'oubliez donc pas votre ordonnance. On retrouve chez Underground Therapy des fondations 70's psychédéliques sur lesquelles le temps a laissé ses strates successives, et passant du quintet au quartet.
Le gros changement c'est le départ de 2 membres, nouveau bassiste avec Anthony qui change d'instrument, et l'arrivée de Corentin, derrière la batterie...
"On a tout réadapté en essayant de garder l'essentiel et le plus efficace des morceaux pour que ça marche à une seule guitare. La basse a pris plus de place en récupérant des mélodies de l'ancienne guitare, la guitare actuelle a gonflé son son et en même temps ça a permis à Tom d'avoir plus de place." : Anthony.
La formation a signé chez un booker, Pongo Booking, après avoir participé à un tremplin “Los Bambasitos” en novembre 2021 et y avoir rencontré José Garcia, le président de l'association.
Le quartet a délivré un set énergique, brutal mais rempli d'émotions, aux chansons vraiment cathartiques. La voix de Sarah voyageant avec aisance de la violence et l'explosion à la douceur et l'envoutement.
1. Imsomnia Neurosis (EP 20/12/20)
2. Dust
3. Abyss Fire Back (EP)
4. Deep Water
5. Shell Inédit du futur album
6. Donnie Darko Neurosis (EP 20/12/20)
7. Stupid Man Fire Back (EP)
8. Shadow & Light Fire Back (EP)
9. Same Old Story Inédit du futur album
10. Lighter Fire Back (EP)
Après les avoir découverts sur scène, Underground Therapy a bien voulu se prêter au jeu de l'interview qui a pris fin sous les watts du groupe Overdrivers qui prenaient place , l'interview des Toulousains ayant été réalisée après la prestation de Brutti di Fosco au changement de plateau :
Les Brutti di Fosco (originaire des Marches, né à Cingoli en 2016) jouent du Rock , contaminé par le Funk , le Folk et le Metal, car chaque membre vient d'un parcours musical distinct et a sa propre histoire à raconter. Une musique donc très colorée et rendue épique par la présence d'un instrument traditionnel, la Cornemuse. Il est dit que Fosco (qui manie aussi guitare, basse et piano), le leader du groupe, est l'un des meilleurs cornemuseurs italiens. Au fil des années, le son a évolué d'un son « celtique traditionnel » à une musique plus libre d'étiquettes, où l'esprit ludique du groupe émerge en impliquant le public dans son spectacle.
Fosco (Lorenzo Carducci) Cornemuse, sifflet, chant
Johnny Visciola (Giulio Fabrizi) Basse
Il Tropicale (Edoardo Leoni) Batterie
Don Vito De La Sierra (Lorenzo Marcelloni) Guitare lead
Frederick O'Giustu (Federico Stocchi) Guitare rythmique
A noter dans leur cursus musical, leur participation à la huitième édition de l' émission de talents Italia's Got Talent diffusée le 16 mars 2022 avec une jolie place en demi-finale.
1. Sette Quarti Estote Deformis (EP 2018)
2. Je Jacobites By Name Ye Jacobites by Name est une chanson traditionnelle écossaise
3. Liberi!e single 21/01/22
4. Drunken Sailor
5. Can You Hear The Blackbird Estote Deformis (EP 2018)
6. Luce single 28 mars 2023
7. Frutti di Bosco Estote Deformis (EP 2018) - L'anagramme de Brutti di Fosco -
Introducing the Band Members
8. Let’s Go Pecoraio Estote Deformis (EP 2018)
9. Atholl Highlanders
Il est indéniable que les Italiens savent faire le show tant dans la façon de faire évoluer leur set tout au long de leur prestation que sur l'énergie qu'ils déploient en livrant leurs titres sans temps morts, complétés par des échanges récurrents avec le public. Public qui, s'il a été plutôt très surpris sur les premiers instants, a très vite adhéré au genre présenté et à l'énergie dégagée. En d'autres termes, un excellent moment lors de ce Tribal Festival 23. La formation n'hésite pas pour terminer sa prestation à descendre auprès du public pour délivrer au plus près cette énergie électrisante et plus que jpuissive.
Si un mur de décibels s'est abattu dès 2015 sur les Terres du Nord, nos quatre rockers débarqués en région Paca ont mis à sac la scène du Tribal Fest de Marco et explosés les esgourdes du public et de ses environs. Après avoir découvert en live Airbourne au Orange Metalic Festival cette année, c'est au tour de cette formation surnommée The Frenchiest of Australian Rock Band qui, vous l'avez compris, nous sert des compositions à la AC/DC like. Inutile de vous écrire que ça bouge dans tous les sens, ça envoie les décibels par flots effrénés et Adrien nous chante haut et très fort quelques titres au sujet parfois déroutants comme She's On Her Period. Le quartet composé de :
Adrien Desquirez – Chant, Guitare
Anthony Clay – Guitare
Benjamin Ollivier – Basse
Florian Morgano – Batterie
fait exploser les watts hors des Marshalls sans s'apercevoir que la pluie commence à s'inviter sur la scène non couverte... Qu'est-ce qui va sauter en premier? Fort heureusement la demoiselle n'ayant pas son billet d'entrée a fait demi tour illico presto laissant la voie ouverte à la déferlante des Nordistes dont le show survolté n'a laissé place à aucun temps mort. Pour finir un bon bain de foule pour finir dans une euphorie totale qui ravit tout le monde musiciens, festivaliers et organisation. Si les Américains d'Alcatrazz nous proposait "Hiroshima Mon Amour" dans leur setlist, Overdrivers fût une véritable bombe atomique sur Peymeinade!
1.You cheated on me Rock Out (EP 3 titres - 2021)
2. She hides a big packet Rockin' Hell ( album - 2016)
3. Factory Rock Out (EP 3 titres - 2021)
4. She’s on her period She's On Her Period (album - 2018)
5. High Mountains She's On Her Period (album - 2018)
6. Dirty Girls Island Rockin' Hell ( album - 2016)
7. Show your boobies She's On Her Period (album - 2018)
8. Rockin’ Hell Rockin' Hell ( album - 2016)
9. Limbs of rock’n’roll Rockin' Hell ( album - 2016)
Quelques petites informations obtenues au bout du micro :
Depuis 1983, la vie de la formation ALCATRAZZ est loin d’être un long fleuve tranquille au vu des multiples évolutions du line-up ; une véritable saga en quelle que sorte, avec de multiples épisodes. Seuls membres fondateurs Gary Shea à la basse et de Jimmy Waldo aux claviers, restent les véritables piliers du début de l'aventure. A noter malgré tout que la basse est tenue lors des concerts par Adam Sheppard (choeurs). Si Yngwie Malmsteen et Steve Vaï ont laisser quelques empreintes marquantes respectivement de 1983 à 1984 et de 1984 à 1985 dans la vie de Alcatrazz (sans compter Jason Becker), c'est à ce jour le shredlord Joe Stump qui tient la 6 cordes depuis 2019, largement influencé Yngwie et réplique partielle de ce monstre. Sur ce Tribal Festival Joe fait le show dans des positions épiques souvent caché derrière sa tignasse, arborant une jolie guitare ESP jaune discret, beaucoupplus discret que notre guitariste. En tout cas ça envoie du lourd avec des nappes de clavier, des basses et une rythmique servie par Larry Paterson en superforme et malgré le tout petit espace prévu pour la batterie. Larry qui prend le relai depuis le second semestre 2021 de Mark Benquechea lui, présent depuis 2019. Evidemment nous savions que nous n'aurions pas Graham Bonnett derrière le micro, évincé depuis fin 2020 et remplacé par Doogie White ( Rainbow, Yngwie Malmsteen, Michael Schenker...). La setlist fait quelques aller-retours entre la discographie d'Alcatrazz et celle de Rainbow en passant par Michael Schenker’s Temple of Rock,donnant ainsi un léger aperçu du cursus de Doogie.
Evidemment pour les fans de la première heure, l'absence de Graham peut générer une certaine frustration ; cependant il est incontestable que la présence d'une telle pointure au Tribal Festival rend le public fier et le ravit au plus au point. Bravo à Marcus pour pour cette initiative et cette performance.
Little Viper
Too Young to Die, Too Drunk to Live
Wolf to the Moon (Rainbow)
Turn of the Wheel
Ariel (Rainbow)
Jet to Jet
Sword of Deliverance
Battlelines
Too Late for Tears (Rainbow)
Don't Get Mad…Get Even
Hiroshima Mon Amour
Bring on the Rawk
Vigilante Man (Michael Schenker’s Temple of Rock)
The Temple of the King (Rainbow)
Quelques messages recueillis sur place :
1. Jimmy WALDO
2. Joe STUMP
3. Larry PATTERSON
A noter que Larry Patterson Larry a été pendant un certain temps l'assistant officiel de Cozy Powell et de son technicien de batterie Eddie Naughton lors de l'écriture et de l'enregistrement de l'album « Forbidden » de Black Sabbath.
Il a aussi travaillé pour Blaze Bayley avec qu'il a fait deux des albums studio, un double album live et un DVD suivant de nombreuses tournées dans le monde entre 2007 et 2010.
En dehors de la musique, il écrit beaucoup. Dans le monde de la musique, un livre sur l'histoire du groupe Blaze Bayley intitulé « At The End Of The Day », a été initialement publié en 2009.
Depuis 2022, 21 livres sont à son actif, sur des thème totalement différents : des histoires non-fictionnelles sur la Seconde Guerre mondiale – principalement liées à la Wehrmacht – inspirées en grande partie par un intérêt de toute une vie pour la Seconde Guerre mondiale et par son travail comme instructeur de plongée sous-marine, ce qui comprenait quelques années de plongée sur les épaves de guerre au large de la France.
Ravie d'avoir pu voir en live cette formation ainsi que les quatre autres groupes proposés dans ce festival, un des rares festivals à s'êtr 'enraciner sur nos terres provençales. Que l'organisation continue avec passion à générer des éditions d'année en année depuis 2006 et qu'elle puisse ravir autant de public et de passionnés encore pour les décennies à venir.