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Le 14/02/2022
JaCOB est l'acronyme de Jaypee & the Cannibal Orgasmic Band.
A l'origine du projet, Jaypee, c'est à dire Jaypee-jaypar, musicien basé à Lyon qui fit ses premières armes sur la scène métallique poitevine (Crawling in Sludge). En 2015, il bifurquait vers une formule solo très épurée qu'il décrivait ainsi :
« L'ambiance musicale dont je m'imprègne reste très influencée par la scène Blues acoustique actuelle (William Elliot Whitmore, Scott H Biram, Kelly Joe Phelps, Björn Berge, Seasick Steve...) tout en empruntant par moments de quelques gros tatouages Rock et Metal (Alice in Chains, Down, Neurosis, Clutch). »
Après son troisième album, l'intime « Meet Me Again » (2018), Jaypee revient le 21/01/2022 accompagné de quatre musiciens pour un album justement dénommé :
« Metamorphosis »

« Metamorphosis » est un dix pistes d'environ quarante minutes.
L'artwork aux connotations sataniques est signé par l'artiste poitevin Mmmoaaa / Yohann Silere Omnia.
Il s'agit, pour Jaypee, du premier opus enregistré au Studio Magneto et en équipe.
Suivez-moi pour un un tour de pistes :
01. « Prayer » installe une ambiance lourde par une mélodie simple et courte, inspirée du blues. La production offre beaucoup d'espace aux instruments. La combinaison avec l'harmonica est une réussite.
02. « I’m Coming for You » fait violence et relève le rythme de manière beaucoup plus collégiale. Jaypee descend dans les basses remarquablement et sans forcer le trait.
03. « Lonesome Bastard » est un morceau groovy à l'intro très cool. L'harmonica se fait nonchalante.
04. « The Loser Song » installe un décor de western mexicain façon Tarantino. Des notes simples font mouche et le violoncelle s'envole après le pont.
05. Le tempo de batterie marque « Son of a Bitch ». Son blues rock se fait hard sur le refrain et se métallise carrément sur la seconde partie
06. « Rain » calme le jeu dans le rythme comme dans l'orchestration. La voix est remarquablement basse et le violoncelle donne de la beauté à ce titre plein de grâce, jusqu'à ce que la batterie amorce un ton plus dur.
07. « John the Revelator » est un blues solennel qui convoque une ambiance western.
08. Jaypee décrit le titre « Another Summer Day in France » comme « un tableau entre décadence assumée et groove dansant. Une parfaite adéquation avec le sujet, celui d’une journée d’été quotidienne dans une France rurale aux effluves d’alambic et d’excès. Une journée ordinaire, entre gueule de bois, apéritifs et digestifs, chaque refrain ponctuant chaque heure comme un éternel recommencement. » Le morceau rappelle Tom Waits.
09. La profondeur du son donne de la perspective à « The Ballad of Black Bart » qui s'enflamme sur son dernier quart.
10. « In My Realm » est la plus longue piste de l'album. Elle serpente au son du violoncelle.
Jaypee insufle avec JaCOB une diversité bienvenue à son univers. La qualité des interventions de ses musiciens, l'authenticité de son chant dans les basses, font de « Metamorphosis » un album tout à la fois épuré et d'une grande richesse, subtil et intense. Tout laisse à croire que Jaypee a trouvé la formule de l'album de voyage, celui dont la musique fait naître des images. Sa recette, outre un songwriting solide et une interprétation au cordeau, compte des orchestrations soignées portées par une production qui laisse sa place à chaque instrument et qui permet de saisir les nuances. La nature fait bien les choses, et la métamorphose est une fois de plus à l'avantage du métamorphosé. C'est beau et on recommande.
Les Critiques :
- Une réussite de bout en bout qui mèle rock, blues et folk dans un univers à la fois inquiétant et familier qui donne envie de se lancer dans une chevauchée fantastique.
Metal Eyes - Une personnalité bien forte et une identité unique.
Among The Living - Le métal n’est jamais loin, à fleur de peau, sans jamais franchir le Rubicon.
Rock Made in France - Mieux foutu que pas mal d’autres propositions du même genre outre-atlantique.
Adopte un disque l'énorme blog musical - Sans renier une touche française évidente, le groupe impose un style rugueux et convaincant.
Rock'n Force
Tracklist :
01. Prayer
02. I’m Coming for You
03. Lonesome Bastard
04. The Loser Song
05. Son of a Bitch
06. Rain
07. John the Revelator
08. Another Summer Day in France
09. The Ballad of Black Bart
10. In My Realm
durée totale : 40mn42
JaCOB par Thierry Montchâtre-Jacquot
Line-Up :
- Jaypee-Jaypar (Chant / guitares)
- Marie Caparros (Violoncelles)
- Fred Brousse (Harmonica / guitares)
- Rémi Dulaurier (Batterie)
- Jean Joly (Basse / contrebasse)
Discographie Jaypee-Jaypar :
- On my way (2015)
- Sinner (2016)
- Meet Me Again (2018)
Le Lien :
Le 13/02/2022
OVERDRIVERS annule quelques dates de sa tournée
Le groupe de hard-rock Overdrivers a dû annuler certaines dates de sa tournée.
Overdrivers explique :
« Décidément, la situation actuelle n’est pas propice au bon déroulement des concerts. Nous sommes malheureusement contraints d’annuler quelques dates pour des raisons indépendantes de notre volonté.
- Celles du 17/02 au Show Case Recording (Pérols), 18/02 au ROCK N EAT (Lyon) et 19/02 au festival Haillicourtois (Haillicourt).
- Celles du 31/03 à l'Espace Musical Hyperion (Marseille), 01/04 à l'Altherax Music (Nice) et 02/04 au Monster'S Art (Fréjus) ».
Le groupe ajoute qu'il fera son possible pour reprogrammer un passage dans ces lieux.
Le 13/02/2022
Groupe :Sartori
Album : Dragon's Fire (28/01/2022 - Rockshots Records)
Genre : Power Metal Néo Classique
Origine : USA
Par Ahasverus
Sartori est un groupe fondé à l'initiative d'Andy A. Sartori, guitariste Brésilien ayant des origines italiennes mais installé en Pennsylvanie.
Peu d'informations à notre disposition dans la biographie accompagnant l'album. Elle nous indique cependant qu'Andy A. Sartori serait populaire au Japon et que sa plus grande influence est Mozart.
Aussi limiterons-nous le le bla-bla pour nous intéresser immédiatement à la musique.
Sartori a sorti un album le 28/01/2022.
Il s'intitule :
« Dragon’s Fire »
« Dragon’s Fire » est un neuf pistes d'environ trente minutes.
1. Il s'ouvre sur le rapide « Evil Heart », avec une batterie qui cogne et des notes qui annoncent la virtuosité du guitariste. Le titre, bien construit, rappelle les vieux MSG.
2. « One Distant Heart » ralentit à peine. La guitare lead attaque dès le début. Encore un bon titre de hard au solo de guitare purement fabuleux.
3. « From Hell to Heaven » frappe encore juste au niveau du songwriting, porté par un chanteur absolument impeccable.
4. L'interlude « Little Aria In G Major » permet de reprendre son souffle avant le morceau suivant.
5. « Devil In Disguise » est particulièrement nerveux et bien ficelé de bout en bout.
6. La guitare se fait mélodique sur « Through The Eyes of My Soul », qui aurait presque des allures de power ballade après la furie qui précède.
7. « Castle of Lost Souls » est un instrumental. Il alterne les ambiances d'une manière remarquable. Les amateurs de néo-classique vont l'adorer !
8. « Battle In The Distant Lands » est rapide, avec un très bon pont avant le refrain. Il confirme la fiabilité de Scott Board au chant.
9. « Dragon’s Fire » clôture l'album et lui donne son nom. Encore un titre bien écrit avec une prestation du groupe qui touche à l'excellence.
Plus encore qu'à Malmsteem (« Castle of Lost Souls »), c'est à Rainbow, Vandenberg, et surtout à MSG que nous avons pensé à l'écoute de ce « Dragon’s Fire ». C'est que, comme ces groupes, il réunit un excellent guitariste, un chanteur présent sur tous les fronts (le remarquable Scott Board - Cerebus, No Love Lost), et une section rythmique qui ne démérite pas. Nous (re)voici en plein hard 80's, tendance néoclassique. Le songwriting est d'une efficacité rarement égalée. La virtuosité d'Andy A. Sartori est flagrante, mais elle sait se mettre au service de la mélodie tandis que le groupe multiplie les titres accrocheurs. Un bémol - vous jugerez par vous-mêmes de son incidence - le son est lui aussi des 80's ! Il rappelle les vieux vinyles de Tokyo Blade. Le détail n'est pas rédhibitoire et c'est probablement le choix du groupe - mais nous aurions apprécié une approche plus actuelle. Néanmoins « Dragon’s Fire » est un grand album qui tourne régulièrement sur notre lecteur et qui marque notre début d'année 2022. C'est une belle découverte, capable de tirer la bourre à un album de Michael Schenker, et les amateurs de hard mélodique façon 80's ne lui resteront pas insensibles, c'est en tous cas notre recommandation.
Les Critiques :
- Du bon power metal à papa qui s’écoute très bien.
Soil Chronicles -
Écouter Dragon's Fire, c'est littéralement comme voyager dans le temps.
Sentinel Daily
Line-Up :
- Andy A Sartori : Guitares
- Dino Castano : Batterie
- Rod Viquez : Basse
- Scott Board : Chant
Tracklist :
1. Evil Heart (3:02)
2. One Distant Heart (3:57)
3. From Hell to Heaven (4:10)
4. Little Aria In G Major (0:37)
5. Devil In Disguise (3:54)
6. Through The Eyes of My Soul (3:48)
7. Castle of Lost Souls (4:18)
8. Battle In The Distant Lands (3:42)
9. Dragon’s Fire (2:57)
Durée totale : env. 30 mn
Liens :
PROPHETIC SCOURGE, Gnosis, A Sorrower's Odyssey (2021)
Le 10/02/2022
Prophetic Scourge est originaire de Bayonne, mais ne comptez pas sur lui pour vous chanter la Pitxuri : c'est un groupe de Death.
Après un EP et un album, la formation revisite l'Odyssée d'Homère à travers le voyage d'un homme, Odysseus, marqué par le deuil et par la culpabilité du survivant. L'album s'appelle :
« Gnosis : A Sorrower's Odyssey ».
Son artwork est signé Sébastien Labrunie.
« Gnosis : A Sorrower's Odyssey » est sorti le 29/10/2021. Visitons-le piste par piste...
1. Avec ses huit minutes trente-cinq, « The King – An Odyssey Begins Aright » prend le temps de s'installer. Les riffs sont variés, rapides ou pesants. La rythmique death sait bombarder avec intensité et se parer de beaux enjolivements de guitare.
2. « The Cyclops – Blinded in the Garden of Eris » appuie sur la rythmique. Les growls jouent sur deux tonalités. Le titre alterne phases mélodiques et tempête. Les guitares tourbillonnent dans une grande diversité avec un enchaînement parfait.
3. « The Fury – Of Tasteless Wine and Sorrow’s Flesh » s'ouvre sur une énorme ligne de basse, rattrapée dans une quasi-cacophonie par les autres instruments avant de s'ordonner rythmiquement. C'est extrême, c'est furieux, et ça va très vite.
4. « The Pyschopomp – Deaf to the Siren’s Hail » agresse d'entrée avec sa batterie très active. Les lignes de guitare sont impressionnantes et la rythmique bastonne. Le morceau se fait sombre, avec des ruptures dans le rythme et des reprises qui tuent.
5. « The Dragonchaser – Crowned on the Throne of Loti » commence en acoustique avec de jolies arpèges. C'est encore parfaitement construit, entre tempêtes et accalmies.
6. « The Mendicant – Known Only By Touch » entame un death plus classique, tandis une la batterie s'active à l'extrême. La composition est habile et les guitares lui donnent beaucoup de corps. Le rendu est impressionnant.
7. « The Tyrant – Wading ‘Ward Solace He Lucidly Drowns » clôture l'album par un morceau fleuve de seize minutes. Beau travail sur la captation des voix tandis que les guitares prennent le lead dans la seconde partie. Un pont en arpèges au son saturé annonce une conclusion très dense sur laquelle la batterie se déchaîne.
Complexe, dense, mais vous accueillant avec facilité, « Gnosis : A Sorrower's Odyssey » est un concept-album de death technique avec des titres à rallonge parfaitement construits qui vous collent mandale sur mandale et vous en mettent plein la gueule et les oreilles pendant plus d'une heure ! Le chant, qui joue sur deux tonalités, est remarquable, la virtuosité des musiciens évidente. Parfaitement à l'aise dans le processus de composition, Prophetic Scourge propose un opus à zéro défaut dont l'intérêt grossit au fil de son écoute, sur lequel chaque morceau semble se battre pour la place du meilleur titre de l'album. Si vous aimez le death technique et imprévisible, immergez-vous totalement dans l'écoute de cet impressionnant « Gnosis: A Sorrower's Odyssey » pour en mesurer l'étendue, et il deviendra votre nouvel album de chevet. Incontestablement réussi et inspiré, il est purement indispensable !
Retrouvez Prophetic Scourge à l'affiche du Hellfest Open Air Festival le 19/06/2022 à 18 heures 05 sur la Hell Stage.
Les Critiques :
- « Prophetic Scourge monte encore d’un cran l’expression de son talent à travers une Odyssée mise en avant par des envolées lyriques. »
Loud Tv - « Le bassiste est un malade mental qui doit avoir vingt doigts à chaque main (pas d'autre explication) ! »
Le Scribe Du Rock - « Le quintet du pays basque peut se vanter d’avoir sorti une future probable référence en la matière. »
Soil Chronicles - « Les Français nous montrent clairement qu'ils sont bien plus que des passionnés de musique violente, et que leurs ambitions n'ont plus aucune limite. »
FRENCH METAL - « Un album à la fois ambitieux, riche, généreux et d'une profondeur qu'on en songerait à le faire écouter en cours de littérature grecque. »
HARD FORCE
Line-up :
- Robin Claude - Guitare
- Thibault Claude - Basse
- Romain Larregain - Guitares
- Jon Erviti - Batterie
- Josh Smith - Chant
Technique :
- Batteries enregistrées au Reseda Studio par Jérémie Garat
- Guitares, basses et chants enregistrés au Cornal Studio Prophetic Scourge
- Mixage et mastering au Steelmind Studio par Xavier Collard
Tracklist :
1. The King – An Odyssey Begins Aright 08:35
2. The Cyclops – Blinded in the Garden of Eris 07:50
3. The Fury – Of Tasteless Wine and Sorrow’s Flesh 06:47
4. The Pyschopomp – Deaf to the Siren’s Hail 07:04
5. The Dragonchaser – Crowned on the Throne of Loti 09:49
6. The Mendicant – Known Only By Touch 08:21
7. The Tyrant – Wading ‘Ward Solace He Lucidly Drowns 16:18
Durée : env. 64 mn
Discographie :
- « Corrupt Karmic Invigilators » (EP - 2015)
- « Calvary » (2018 - Klonosphere/Seasons of Mist)
- « Gnosis, A Sorrower's Odyssey » (2021 - Klonosphere/Seasons of Mist)
Lien :
La tournée européenne de The SoapGirls passera par la France
Le 08/02/2022
La prochaine tournée européenne du groupe de revolt-rock sud-africain The Soapgirls passera par le Royaume-Uni, l'Autriche, l'Allemagne, la République Tchèque, l'Italie, la Suisse (Zurich, Martigny), la Belgique (Mechelen, Eernegem) et la France (Marseille, Lyon, Barberaz et Cergy).
Le dernier titre en date des soeurs Debray, « Heart In Bloom », devrait figurer sur leur quatrième album, à propos duquel aucune information n'est encore connue.
Discographie :
- Calls For Rebellion (2015)
- Society Rejects (2017)
- Elephant In The Room (2019)
- Heart In Bloom (single - 2020)
Le Lien :
CHOREOMANIC : All about that bass
Le 07/02/2022
Choreomanic est un projet prog/funk expérimental créé par le bassiste Hollandais Joost Van Der Graaf (Pestilence, Dew-Scented, ICHAOS, Creepmime).
Choreomanic est né au printemps 2020 lorsque, contraint à l'inactivité, le bassiste Joost Van Der Graaf a commencé à composer un album orienté autour de son instrument en piochant dans ses différentes influences.
Il explique :
« Je venais de rejoindre Pestilence et j'étais occupé avec le matériel, préparant une belle tournée américaine avec Possessed. Puis la pandémie a frappé. La tournée a annulé tout ce qui était en attente. J'ai soudainement eu beaucoup de temps libre avec tous les autres projets annulés également (école de musique fermée, plus de concerts locaux) alors j'ai décidé d'enregistrer un album punk pour me débarrasser d'une partie de la frustration et de la colère qui s'étaient accumulées à l'intérieur. Ce que j'ai commencé à écrire n'avait pas grand-chose à voir avec le punk… C'était assez spontané dès le départ et tout ce que je savais, c'est que je voulais créer quelque chose de heavy sans aucune guitare. »
En décembre 2021 Joost Van Der Graaf présentait « Time To Let It Out », un premier single.
Composant pour des cuivres pour la première fois, il ajoutait :
« C'est probablement la plus grande joie quand on crée de la musique : n'avoir aucune idée de ce que l'on fait ! Etant agréablement surpris par le son total, j'ai décidé de rester dans cette voie. Cela a abouti à quelque chose que je n'aurais jamais pensé faire, mais apparemment, je viens de le faire…. Pourquoi ne pas aller jusqu'au bout alors ? Honnêtement? Je ne suis même pas sûr qu'il y ait des fans pour ça, mais je sais que les auditeurs de Pestilence par exemple, ou de l'un des autres groupes de death metal dont j'ai fait partie, seront probablement au moins un peu surpris. J'aime à penser que les fous (comme moi) apprécieront cela. »
Dès le matériel prêt à être enregistré, Joost Van Der Graaf contactait des amis musiciens pour l'aider à terminer le projet : le batteur Koen Herfst (VandenBerg, I Chaos, Dew-Scented), le claviériste Thijs Ronteltap (Disuse, Epistulum), le saxophoniste Tommie Freke (Gallow Street), le tromboniste Jeroen Verberne (Sjef’s Special) ainsi que le trompettiste et clairon Gidon Nunes Vaz.
« Off With The Figurehead » est le second single extrait de l'album « Choreomanic ».
« Choreomanic » sera disponible le 18/02/2022.
Les précommandes sont ouvertes I C I.
Tracklisting :
1. This Is Not A Drill (3:50)
2. Spun Sugar (2:45)
3. What You Get (3:26)
4. Red Flags (2:26)
5. Choreomanic (2:17)
6. Walk With Urgency (2:33)
7. Off With The Figurehead (2:18)
8. Time To Let It Out (2:08)
9. Calling God (4:28)
10. Take The Money Give It To Me Now (2:31)
11. Story About The Moon (2:46)
12. Away From The Sun (5:52)
Durée : 37:25
Discographie Joost van der Graaf :
2022 – Choreomanic – Self-Titled (Autoproduction)
2021 – Pestilence – Exitivm (Agonia Records)
2015 – Dew-Scented – Intermination (Metal Blade Records)
2015 – Dew-Scented – Immersed – 7#split EP (Metal Blade Records)
2015 – I Chaos – Masterbleeder (RITF Records/Suburban Distribution)
2013 – Dew-Scented – Insurgent (Metal Blade Records)
2012 – Dew-Scented – Icarus (Metal Blade Records)
2011 – I Chaos – The Human Repellent (RITF Records/Suburban Distribution)
2009 – I Chaos – Self-Titled – EP (Autoproduction)
2008 – Cypher – MMVIII – EP (Autoproduction)
1995 – Creepmime – Chiaroscuro (Mascot Records)
JPL sortira SAPIENS 3 en mars 2022
Le 07/02/2022
Le dernier volet de la trilogie « Sapiens » de JPL est en cours de finalisation. Jean-Pierre Louveton annonçait récemment que l'album était en phase de duplication. Il indiquait également que l'artwork de ce « Sapiens, chapitre 3/3 : Actum » était signé Stan W Decker, et qu'il contenait un livret de douze pages avec les paroles des morceaux et des photos signées Christian Mandrin.
JPL dévoilait enfin un premier titre de « Sapiens, chapitre 3/3 : Actum », un morceau intitulé « Mon Cercueil », sous-titré, sur la page du groupe, « ou comment s'habituer à notre dernière demeure en restant enfermé chez soi. Les raisons peuvent en être multiples, nous venons d'en vivre un bon exemple ».
Annoncé pour le 25/03/2022, l'album est disponible à la précommande sur ces liens :
Le 06/02/2022
XCIII est un projet né en 2009 et piloté par Guillaume Beringer. Il se définissait initialement comme un groupe de métal avant-gardiste.
Son nom est une référence au poème de Charles Baudelaire « A une Passante ».
La musique de XCIII a évolué au fil de ses nombreux albums (discographie in fine). Il se définit aujourd'hui comme un projet d'avant-garde aux influences multiples.
Le 14/01/2022 XCIII a sorti son nouvel album :
« VOID »
1.- « Void » s'ouvre avec « IR », une courte pièce qui se lance au clavier. Voix féminine et masculine s'entremêlent.
2.- En mode trip hop, « Red Lights » met en évidence un chant féminin sucré, puis une voix féminine au joli phrasé à laquelle fait écho une voix masculine.
3.- Sur « Hannah », le chant au léger vibrato est d'abord porté par un clavier. La prise de son met les voix en valeurs. Les guitares donnent de l'intensité au morceau.
4.- « At Last One » fait la part belle au dialogue piano/guitares. Celles-ci accentuent la dramaturgie.
5.- « Re » met à nouveau en évidence une belle voix féminine tandis que la rythmique conjugue richesse et simplicité.
6.- « Rosemary » fait place aux guitares saturées que contraste un chant médium.
7.- « Lunchbox » est une alternance de tonalités sur une rythmique d'abord épurée puis florissante.
8.- « Tapeworm » installe une monotonie qui se brise sous la saturation du son de la guitare puis par l'entrecroisement des cordes. Des coups sourds se font entendre avant que l'énergie ne se libère.
9.- « VS » fait monter la tension sur la conclusion. Aussi courte qu'intense, cette pièce cinématographique aurait pu se trouver sur une album de Sergio Leone ou de Ry Cooder.
XCIII propose un album de coldwave raffiné qui se joue des ambiances hypnotiques dans une esthétique classieuse rehaussée par le chant captivant d'une sirène. Charmé, vous ne pourrez que vous laisser emporter par ce flot d'élégance, et vous vous coulerez dans ce tourbillon de musique comme dans un bain chaud. A savourer.
Les critiques :
- « Une fois de plus, le musicien propose une sorte "d’Art total" où se mêlent musique, Arts visuels et poésie, pour un résultat à la fois nerveux et sexy. »
COREandCO webzine - « L'impression générale de prendre le métropolitain de nuit sans que celui-ci ne s'arrête aux stations. »
profilprog.com Web & Radio
Tracklist :
1.- IR (2:31)
2.- Red Lights (5:12)
3.- Hannah (7:11)
4.- At Last One (4:18)
5.- Re (2:31)
6.- Rosemary (4:18)
7.- Lunchbox (5:59)
8.- Tapeworm (7:26)
9.- VS (2:29)
Total : env. 41:00
Line-Up :
- Guillaume Beringer : Chant / Guitares / Basse / Claviers / Batterie
- Giulia Filippi : Chant / Invitée
- Maelise Vallez : Chant / Invitée
- Mathieu Devigne : Piano / Invité
- Neemias Teixeira : Piano / Invité
- Oisava : Violon / Invité
Discographie :
- Majestic Grief (Demo - 2010)
- Nocturnal Promenade (Split EP - 2011)
- Like A Fiend In A Cloud (2013)
- Event Horizon (EP - 2014)
- Enlighten (2016)
- Theanomie (EP - 2017)
- Press Repeat (2018)
- Transiense (2018)
- Void (2022)
Le Lien :