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Nos articles
Le 02/08/2021
Ils s'étaient fait connaître par une vidéo de présentation qui les voyait découvrir dans l'océan un vieux vinyle de death metal recouvert d'algues, ils reviennent maintenant pour les choses sérieuses.
Le groupe de death old school breton INFERN présente son premier enregistrement, deux titres de pure Death Metal dont le mix et le master ont été réalisés par C. Elliot (Abysmal Dawn) au Tastemaker studio Los Angeles.
En mai 2021, le groupe avait déjà révélé « Victim Of The Doom », l'un des deux titres, dans un clip.
Un deux pistes furieux, d'une efficacité tranchante. Le premier titre, hargneux et rapide, vous travaille au corps ; le second, dense et lourd, termine le job.
« Ecocide », qui ouvre l'EP, fait l'objet d'une lyric video :
A découvrir dès maintenant sur toute les plateformes de streaming :
Line-up :
- Julien Tanguy - Vocals (Gengis, ex Anthares)
- Pierre-Loup Corvez - Guitars / Vocals (ex The dying Seed)
- Sylvain Collas - Bass / Vocals (Stonebirds, ex The dying Seed)
- Simon Beux - Drums (Gengis, ex Taliandörögd)
Les bio d'Apo : THROUGH THE DUSK
Le 02/08/2021
Chaque semaine Apolline nous présente une formation française.
Aujourd'hui c'est le groupe de death Through The Dusk, originaire de Troyes, qu'elle nous permet de découvrir.
C'est une nouvelle bio d'Apo.
THROUGH THE DUSK (source : Bandcamp)
Line up : Alexis Vincent (chant) - Bastien Foucher (guitare Lead) - Alexandre Galaup ( Guitare rythmique) - Aurelien callewaert (Basse) - Raphaël "El Raphal" Vauthier (batterie)

Tous les membres du groupe ont baigné assez tôt dans la musique et le métal en particulier, et ont vite décidé de se mettre à leurs instruments de prédilection pour faire comme leurs idoles respectives (Alexis laiho ou kirk hammett par exemple pour ma part). Ensuite est venue l'envie de construire quelque chose et de mettre à profit ce travail individuel et de pouvoir partager cette passion avec d'autres personnes. Le genre death mélodique s'est imposé de lui-même au fil des compositions du fait de nos influences très marquées dans ce style. Est arrivée ensuite lors de l'écriture de notre album "Sombre Odyssée" l'univers Pirate qui collait assez bien aux compositions, sans le vouloir à la base...
Nos influences musicales sont principalement tournées vers le death mélodique et le folk, comme Amon Amarth, Ensiferum, Kalmah, Alestorm pour le coté pirate... Nous sommes beaucoup influencés par l'univers Pirate, et plus généralement par les univers fantastique et héroïc fantaisy.
Ce qui nous plait le plus dans le milieu du metal c'est l'ambiance et la convivialité des concerts metal autant en tant que spectateur qu'en tant que groupe sur scène, les moments de partage avant, pendant, et après les lives ; la chose qui nous déplait le plus est la faible place laissée aux "petits" groupes ou groupes amateurs dans les festivals et sur la scène française en général. Il est très compliqué d'avoir des places dans des festivals ou bien de la visibilité sans un label.
"Drink", D'Alestorm, pour ce coté festif et hymne pirate.
Pour rester dans notre univers ça serait le Kraken, prêt à engloutir toutes les scènes sur lesquels nous jouerons.
Et voilà pour cette semaine.
Je vous remets comme d'habitude le lien de la playlist :
https://open.spotify.com/playlist/0bTigPgUjUbhoUeCh2Cv77...
Bonne semaine à vous !
Les Liens :
https://throughthedusk.bandcamp.com/releases
Retrouvez les bio d'Apo en cliquant ici :
LEXI LAYNE, Sinner & Saint (2021)
Le 01/08/2021
Groupe : Lexi Layne
Album : « Sinner & Saint » (06/08/2021)
Genre : Metal
Origine : USA
Annoncé pour le 06/08/2021, « Sinner & Saint » est le premier EP de Lexi Layne, auteure-compositrice-interprète aux tendances dark, basée à Los Angeles. Travaillant musicalement avec Clint Fowler depuis 2019, elle explique :
« Je suis ravie de sortir mon premier EP le six août. Cela a été un long, beau et parfois difficile chemin pour y arriver comme je le voulais, mais c'est enfin là ! Je veux vraiment que mes fans se connectent personnellement avec chaque chanson qu'ils entendent et créent leur propre histoire. Il y a tellement de hauts et de bas avec ma musique, des montagnes russes sombres mais magnifiques. »
S'inspirant d'influences variées telles que Within Temptation, Jinjer, PVRIS et Rivals, « Sinner & Saint » propose cinq pistes de musique électronique épique combinée à une voix montante et à une instrumentation lourde, alternant brutalité « Self Sabotage » et arrangements soignés (« Bloodless »).
Un single-clip est d'ores et déjà disponible :
Les Liens :
- Facebook : www.facebook.com/misslexilayne
- YouTube : www.youtube.com/misslexilayne
- Instagram : www.Instagram.com/LEXI_LAYNE
- Twitter : www.Twitter.com/Lexi-Layne
Le 01/08/2021
Ils ont sorti chacun un opus à ne pas rater en cette année 2021 qui les place dans notre tiercé gagnant, catégorie folk-rock.Si vous aimez le genre, foncez les écouter !
Fish and Scale - You Can Call Me Love
Après l'EP « Songs From The Inner Child », l'Allemand Roland Wälzlein, alias Fish And Scale, revient nous charmer en format long play avec « You Can Call Me Love », un album empreint d'un certain mysticisme.
« L'amour, explique Roland, c'est notre essence pure et non dissimulée. Quand nous sommes nus, débarrassés de toute histoire collective, de toutes nos attentes, de notre idée de ce que la vie devrait être et de tous les concepts contenus dans notre esprit, un sens plus profond apparaît que nous pouvons appeler l'AMOUR. Plus nous plongeons dans cette dimension, plus nous ressentons le bonheur, l'amour et la joie de la simplicité. Nous réalisons que nous sommes la vie elle-même. »
La chanteuse multi-instrumentiste allemande Julia Fischer (retrouvez-la sur BluesforJules / Julia Jules Fischer) donne joliment la réplique à Roland sur ce morceau et plus généralement sur cet album qui diffuse du bien-être tout au long de son écoute.
Les Liens :
Théo Charaf - Théo Charaf
Théo Charaf nous vient de la scène punk lyonnaise, et c'est à l'illustrateur Jean-Luc Navette qu'il doit d'avoir réalisé ce premier album intimiste étonnant de maturité, ainsi qu'il l'explique à Can You Hear :
« Nous avons eu un projet de groupe avec un membre du Peuple de l’Herbe et un autre de Beaten Brats mais il est tombé à l’eau, puis nous avons commencé à parler de musique folk et je lui ai montré ce que je faisais. Finalement il m’a encouragé à faire de la musique folk seul. C’est lui qui a tout lancé. Il m’a enregistré, il m’a donné confiance en moi. »
(retrouvez l'interview complète sur https://canyouhear.fr/rencontre-avec-theo-charaf/)
Entre reprises et originaux, un nouveau talent qui vous renvoie aux meilleurs songwriters américains, Johnny Cash, Bob Dylan ou Léonard Cohen.
Les Liens :
SomElse - Flowers For My Return
Pour monter SomElse, le Bordelais Frédéric Nathan, chanteur, guitariste, compositeur et arrangeur, s'est entouré du violoncelliste Matthieu Flores, du guitariste et co-auteur William Urbain et du batteur Florent Da Ros.
Ensemble, il se présentent à nous dans un premier EP, avec cinq titres pleins de charme qui révèlent un jeune groupe incontestablement doué et déjà prêt.
Les Liens :
Les N'importe-Quoi d'Ahasverus : METALLICA, Kill' Em All (1983)
Le 01/08/2021
« Quand j'étais jeune, avec mon pote Serge, on jouait dans un air-groupe. »
Serge tenait la air-basse, et moi le air-micro et la air-guitare. On connaissait un peu de air-succès ! On se produisait régulièrement dans sa chambre, devant un air-public.
C'était parfait chez Serge : d'abord parce qu'il avait une chambre pour lui tout seul ; ensuite parce qu'il détenait une super chaîne stéréo dont la platine pouvait aller aussi bien en avant qu'en arrière, comme une vraie platine de DJ !
Mon pote Serge, il avait le sens de la musique. Ces choses-là ne se savent qu'à posteriori. Dès 1978 il me faisait écouter Saga. En 1981 il avait « New Life », le second quarante-cinq tours d'un groupe inconnu en France : Depeche Mode. Et puis Devo, Twisted Sister, et puis j'en oublie ! Musicalement, Serge était toujours au début du chemin. Comment faisait-il ? Je ne lui ai jamais posé la question. Parce qu'à l'époque, rien ne laissait supposer que Depeche Mode, Twisted Sister, Saga ou Devo s'inscriraient dans l'histoire du rock
« New Life » (1981) est le premier gros succès du groupe DEPECHE MODE.
Avec notre air-groupe qui n'avait pas encore de air-nom Serge et moi on faisait surtout des air-covers. On renouvelait notre air-setlist régulièrement.
Financièrement, Serge disposait de l'appui de ses parents. Ils avaient divorcé, et pour faire chier l'autre, chacun essayait d'attirer le rejeton dans son camp en lui filant un max de biftons, que Serge investissait dans la musique. J'en profite d'ailleurs pour remercier publiquement aujourd'hui les parents de Serge : leur rivalité a construit mon éducation musicale.
Un jour de 1983, Serge se pointe avec deux nouveaux skeuds. Le premier s'avère totalement novateur. Le chanteur a une voix stupéfiante. La musique est hyper speed. La provoc' est ultime. Le 33 tours s'ouvre sur « Heidi, heido, heida ». Ca ne dira rien aux jeunes générations, « Heidi, heido, heida », mais pour ma mère qui a connu les bombardements de Nantes, le message est clair : « Ein Heller und ein Batze » (c'est le titre de cette chanson) est un chant nazi. Alors tu peux le justifier comme tu veux, mais « Heidi, heido, heida » suivi de la griffure caractéristique d'un disque rayé et du cri d'un porc qu'on égorge, c'est évidemment une énörme provocation que des mecs de la génération d'Udo Dirkschneider ne pouvaient ignorer ! En quelques secondes, « Fast As A Shark » vient de nous botter le cul jusqu'à l'os et les cicatrices sont là pour la vie ! Mais on sait bien que tout ça c'est le grand cirque du rock'n roll : Accept n'est pas plus nazi que Black Sab', Kiss ou Dio ne croyaient en Satan...
Sorti en 1982, l'album « Fast As A Shark » s'ouvrait sur « Ein Heller und ein Batze », une chanson populaire allemande qui était l'un des chants de marche des troupes allemandes durant la seconde guerre mondiale. Elle valut à Accept quelques controverses, mais aussi de se faire remarquer...
Second disque. Un sticker sur la pochette nous prévient : « Plus vite que moi tu meurs ! ». En rouge et noir (trois ans avant Jeanne Mas, c'est avant-gardiste !) un marteau, du sang. Au verso, des têtes d'ados boutonneux, catégorie têtes à claques, surtout celui de droite.
Le premier titre est brouillon inaudible. Désagréable. « The Four Horsemen », le second, est mieux écrit. Les huit autres pistes ne nous intéressent pas. C'est trop crade, trop fouillis. Ecoutez « Anesthesia - Pulling Teeth » et vous comprendrez ce qu'on a pu ressentir alors. On se repasse « The Four Horsemen » plusieurs fois quand même pour sa structure rock plus digeste... Accept a clairement nos faveurs.
En 1983 Metallica jouait du « Speed Metal ». Il est l'avant-garde du Thrash dont il écrit les règles, un genre qui allait révolutionner le Hard Rock.
Il n'y a eu à mon sens que deux coups de pieds dans la fourmilière Metal : « Black Sabbath » qui a donné naissance au courant doom/black, et « Kill Em All » qui a mordernisé un genre qui se faisait rattraper par les grosses radios.
« Kill Em All » ramassera un disque d'or plusieurs années après sa sortie. Quand mon pote Serge, moi et tous les autres aurons compris le génie de cet album et réussi à refaire notre retard. Il est depuis incontournable.
On ne mesure plus forcément l'impact de Metallica de nos jours. Mais qu'on les aime ou pas, sans eux, ma tête à couper, le Metal d'aujourd'hui ne serait pas celui-là.
Les N'importe-Quoi d'Ahasverus : TELEPHONE, Crache Ton Venin (1979)
Le 31/07/2021
« On était drôlement privilégiés dans la classe, parce qu'on comptait dans nos rangs Fabienne Ledoux-Chalot. »
Au collège des Petits Ponts, à part Carole Bouton qui vivait le nez dans ses bouquins depuis la primaire et qui finissait invariablement première de la classe juste devant Jelko Petrovic (elle fait aujourd'hui une belle carrière d'avocate à Paris), les cours n'étaient pas notre priorité. On les apprenait par dessus la jambe, et ça nous valait souvent de belles tranches de fou-rires. Comme cette fois où, en cours de sciences naturelles, Hugues Foucquart répondait distraitement à la question « Quels sont les trois stades de la vie d'un homme ? » :
« — L'enfance, l'adolescence et l'adultère. »
En y réfléchissant, c'était injuste de sanctionner Hugues d'un zéro pour cette réponse qui témoignait déjà d'une certaine expérience de la nature humaine.
Hugues Foucquart, c'était un métalleux, un vrai. Il portait les cheveux longs et la veste à patches, avec Trust thermocollé dans le dos. Trust. Ce jeune groupe venait de tout défoncer avec son premier album. On passait « L’Élite » dans toutes les boums.
Les boums ? C'est ainsi qu'on appelait les soirées étudiantes d'intégration de l'époque - pour en savoir plus va voir Sophie Marceau.
En 1980, La Boum, de Claude Pinoteau, lance la carrière cinématographique de Sophie Marceau.
Notre énergie, on la dépensait comme ça, entre la musique et les filles. Sur ce dernier point on était drôlement privilégiés dans la classe, parce qu'on comptait dans nos rangs Fabienne Ledoux-Chalot, la plus belle fille du monde, si belle qu'à ce jour, malgré les robes éblouissantes et les grands couturiers, malgré les crèmes au jojoba les plus miraculeuses, et en dépit de tout ce que la médecine moderne compte d'excellents chirurgiens esthétiques, je suis formel : on n'a rien réussi d'aussi renversant que Fabienne Ledoux-Chalot de retour des sports d'hiver en 1979 !
Mon amour pour Fabienne a coûté cher en fleurs aux cerisiers japonais de la rue du Pavé Blanc. Je les arrachais pour les poster dans la boîte à lettres d'une maison que je croyais (à tort, je m'en apercevrais le jour où elle m'inviterait à son anniversaire !) être celle de ma belle. En classe, je m'arrangeais pour être placé non pas à côté (c'était impossible à cause de sa fidèle Geneviève Quivagot) mais derrière elle, juste de trois quart. Et je m'évertuais à la faire rire.
Comme on dit, femme qui rit...
Tu parles ! Fabienne préférait le crâneur aux Ray-Ban, le plus arrogant des jumeaux Montalope, celui qui gardait ses lunettes de soleil même la nuit... Dominique. Elle le trouvait too much.
Je trouvais la musique pour refuge.
Ooh, a storm is threat'ning my very life today /
If I don't get some shelter, oh yeah, I'm gonna fade away.
Je reconnais, c'était facile de trouver une consolation musicale en 1979. Jugez plutôt : AC/DC écrivait l'hymne planétaire du hard rock (Highway To Hell), The Clash copiait la pochette d'un album de Presley (London Calling), Supertramp réalisait son opus le plus populaire (Breakfast In America) et enregistrait son meilleur live (Paris), Police marchait sur la lune (Regatta de Blanc), Kiss cédait aux sirènes du disco (Dinasty) et Klaus Meine posait son grain fameux sur Always Somewhere, le meilleur aspirateur à gonzesses de toute la décennie 70 (Lovedrive).
Pour quelques années seulement, le hard-rock français envahissait les grandes ondes. On organisait de gros festivals aux affiches hétéroclites. Ganafoul, Shakin' Street, Starshooter et Marquis de Sade côtoyaient Joe Jackson et Simple Minds. Jimmy Kerr marchait comme un funambule sur les barrières de sécurité pour faire du stage diving en gueulant « Nous sommes Ecossais ».
SIMPLE MINDS et son premier album, sorti en 1979, Life In A Day.
Parmi tout ça, juste aux côtés de Trust, Téléphone et son deuxième album faisaient carton plein. D'une écriture assez naïve, mais très efficace, le quatuor confiait des préoccupations adolescentes (Fait divers, J'suis parti de chez mes parents). Et l'engouement était si phénoménal que l'année suivante le photographe des Yéyés Jean-Marie Perier leur consacrait le documentaire « Téléphone Public ».
Il y a deux chansons auxquelles on n'échappait pas en 1979 : « L'Elite», de Trust, et « La Bombe Humaine », de Telephone.
J'ai choisi la Téléphone. Parce que la bombe humaine, en février 1979, je la connaissais : c'était Fabienne Ledoux-Chalot. Elle rentrait toute bronzée des sports d'hiver et je l'ai croisée dans un couloir. Je n'ai plus jamais rien vu d'aussi beau. Ni avant, ni après.
AMERICAN TERROR, (USA) : nouveau single-clip
Le 31/07/2021
Le groupe de heavy punk / metal American Terror a sorti le 09/07/2021 « Attitude », le premier single-clip annonciateur de son deuxième album. Ce morceau agressif et et sa vidéo brutale et syncopée sont donc déjà disponibles sur les principales plateformes numériques.
American Terror s'est formé en 2019 sous l'impulsion du chanteur Brad Cox. En 2020 sortait « Influencer », son premier album.
« Attitude » a été conçu, produit et mixé par Brad Cox aux Black Paw Studios à Lawrenceville, et masterisé par Troy Glessner (Disturbed, New Found Glory) aux Specter Studios de Seattle.
American Terror précise :
« La chanson a été écrite et enregistrée pendant le confinement. Entre tensions raciales et politiques, sans parler des questions policières, on avait l'impression que le monde devenait fou et que les gens se retournaient soudainement les uns contre les autres. Alors, fondamentalement, j'essaie de dire que je n'ai pas besoin de ces conneries quand j'essaie de vivre ma vie et de traiter les gens de manière égale. Noir, blanc, républicain, démocrate, gay, hétéro ou tout ce à quoi vous vous identifiez, je m'en fiche. Je n'ai jamais considéré qui que ce soit comme différent, alors pourquoi supposer que je le fais quand vous ne me connaissez pas. Les gens demandent à ne pas être jugés, mais ils vous jugent si vous ne vous exprimez pas haut et fort. Ca me rend dingue, l'attitude. »
Les Liens :
UNDERGROUND : C SQUARED FAIT SA COMPIL
Le 29/07/2021
LE NOUVEAU TALENT QUE VOUS RECHERCHEZ EST PEUT-ÊTRE DEDANS ?
La jeune et très active agence de conseils, management, communication et marketing C Squared Music fait sa compil'.
Ses fondateurs, Curtis Dewar et Cori Westbrook (vous connaissez maintenant le pourquoi de C Squared, c'est à dire C²) se réjouissent :
« Nous sommes vraiment ravis de sortir notre premier album sous la bannière C Squared. Lorsque nous avons formé C Squared il y a quelques mois, nous voulions vraiment pouvoir travailler avec des groupes dans tous les aspects, pas seulement les relations publiques, le marketing et la gestion. Avec cette compilation, nous allons maintenant sortir notre premier album et, espérons-le, continuer à sortir des albums sélectionnés au cours des prochaines années. »
De Torn Between Two Worlds, projet de l'ex choriste de Craddle Of Filth Sarah Jezebel Deva à la ritournelle de The Inferno Doll , du macabre mais réjouissant IN Veil , en passant par le romanesque Duncan Evans ou l'énergique Lutharo , cette galette regroupe un éventail de quatorze titres issus du catalogue éclectique des artistes avec lesquels C Squared collabore.
Certains titres, tels « Didn't Break » de Gaia Guarda (feat. Lindsay Schoolcraft ) figurent exclusivement sur cette compilation.
Annoncée pour le 19/09/2021, « C Squared Underground Music Special » - c'est le nom de cet album - est déjà disponible en précommande, avec déjà trois titres en écoute :
https://csquaredmusic.bandcamp.com/releases