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ENDURE THE AFFLICTION : Premier clip
Le 06/08/2021
« La plus grande affliction que nous devions endurer est celle de la condition humaine. »
Formé fin 2018 en Louisiane, Endure The Affliction est constitué de Tim Keith (Chant principal), Deion Lanthier (Co-Chant/Guitare), Brett Dronet (Guitare), Byron Vollmer (Chant/Basse) et Kyle Roberts (Batterie).
Ils brassent leur métal mélodique à coups de riffs puissants subtilement mélés à un côté émotionnel et à des voix montantes caractéristiques de leur son, mixé à des éléments de metalcore moderne, de power metal et même de gothique américain.
Le chant à quatre voix (deux claires/deux saturées) est l'une des grandes forces de ce groupe peu commun.
Leur tout premier single-clip, « Identity », annonce un EP six titres qui sera réalisé dans le courant de l'année 2021. Et si tous les titres sont de cet acabit, ça devrait le faire !
Les Liens :
Le 06/08/2021
Groupe : IN Veil
Album : « Lunatic » (06/08/2021)
Genre : Gothic / Pop Indus
Origine : Toronto (Canada)
On Aime : le songwriting, le chant, le potentiel
Par Ahasverus
In Veil est un duo formé par le chanteur/guitariste de My Frost Ady Cernea (Instrumentals) et son épouse Haysi Cernea Veil (chant).
Après une cover du « Rasputin » de Boney M, le groupe sortait en septembre 2020 un premier single (« Lunatic ») sur lequel était invité Sam Astaroth, du groupe de black canadien Astaroth Incarnate.
De gauche à droite : Ady Cernea, Haysi Cenea Veil et Sam Astaroth.
Le duo expliquait au magazine Dropout :
« Lunatic était une chanson que nous avons écrite à propos de tout ce qui se passe dans le monde. Nous avons commencé à l'écrire juste après le confinement. Nous avions des gens sur nos réseaux sociaux qui étaient anti-masques, anti-vaccins, théoriciens du complot. Nous étions vraiment agacés par ce sentiment. La musique a toujours été vraiment cathartique pour nous, alors nous avons décidé d'éliminer notre frustration dans la musique. Au début, la chanson parlait principalement de Covid-19, mais après le meurtre de George Floyd, elle s'est également étendue au sujet du racisme et des sentiments racistes ici en Amérique du Nord. Haysi (la chanteuse, parolière et co-compositrice) est afro-cubaine et a été témoin du racisme. Nous avons estimé que c'était un message important en ces temps. »
(retrouvez l'interview en anglais dans son intégralité sur https://dropoutentertainment.ca/2020/10/lunatic-in-veil-interview-new-music-video/)
Le single donnait lieu à un clip, tourné dans le cimetière Saint-James (le plus vieux cimetière de Toronto).
En toile de fond, les plus cinéphiles d'entre vous pourront reconnaître des extraits du « Bossu de Notre Dame » et de « L'Homme qui rit », tournés respectivement en 1923 et 1928.
In Veil commente :
« Nous les avons choisis parce que ce sont tous deux de vieux films qui parlent de maux sociaux et de troubles civils qui, selon nous, étaient parfaits pour l'esthétique que nous voulions atteindre. De plus, les deux films sont assez drôles. C'est un association que nous aimons, drôle + effrayant. »
(retrouvez l'interview en anglais dans son intégralité sur https://dropoutentertainment.ca/2020/10/lunatic-in-veil-interview-new-music-video/)
Dans la suite du single-clip, In Veil revient donc avec un premier EP six titres également intitulé...
« Lunatic »
Fortement inspirés par le folklore des terres qui les ont vu naître (Ady Cernea : Transylvanie / Haysi Veil : Cuba), In Veil mixe métal indus et influences gothiques en une comédie macabre , le tout saupoudré de vibrations pop. Et on ne voit pas comment résister à cette « Salome », qui nous invite à faire un tour de piste et nous démontre d'emblée à quel point In Veil domine son sujet, qu'il soit Indus, pop ou gothique. Le chant de Haysi Veil touche juste et vous aguiche à tous les étages, on a noté quelques intentions qui laissent penser qu'elle est loin d'avoir tout montré, et le duo explore en six points une gamme séduisante de thèmes musicaux et lyriques avec une touche dark envoutante. La suite nous le dira, mais d'ores et déjà il apparaît que le futur s'est ouvert sur un ciel lumineux pour In Veil.
Ce premier essai est transformé et nous révèle un potentiel de composition et d'interprétation enviable.
Un EP réjouissant et convainquant capable de jouer sur pas mal d'ambiances.
« Lunatic », c'est un billet pour une surprise-party chez la famille Adams.
Ce genre d'invitation ne se refuse pas !
Uno dos, uno dos / Three four / Uno dos, uno dos / Once more
La Tracklist :
- Salome - 3:29
- Lunatic (feat. Sam Astaroth) 3:59
- Daddy - 3:41
- Slow Lane3:34
- Whatcha Got I Want 3:15
- Spider 3:50
Les Liens :
- Ecouter l'EP : https://linktr.ee/INVeil
- Bandcamp: https://inveil.bandcamp.com/
- Website: https://inveilofficial.com/
- Facebook: https://www.facebook.com/inveilmusic/
- Instagram: https://www.instagram.com/inveilmusic/
- Twitter: https://twitter.com/IVeilmusic
Les dossiers d'Ahasverus : Le PROG' (première partie)
Le 05/08/2021
Loin des Dream Theater, Marillion et autres Rush, nous vous invitons à découvrir ou à réécouter quelques groupes pour l'instant un peu moins notoires, mais tout aussi passionnants.
L'univers du Prog' est infini... En voici une partie.
MOBIUS : L'INCONTOURNABLE
L'embryon de Mobius est né sur l'île de La Réunion, mais c'est en arrivant à Lyon que le quintette consolide son line-up et trouve sa formule idéale qui mélange prog' et musiques du monde.
Quatre musiciens très techniques et une chanteuse fort intéressante, adepte du crash-test, passionnée par son art, toujours à la recherche de nouveaux territoires.
Mobius, c'est la bande son d'un « Voyage en terre inconnue » : ces cinq-là peuvent vous emmener n'importe, suivez-les yeux fermés car la destination est belle.
En 2020 son « Kala » (traduisez « Temps ») nous entraînait en Inde, avec quelques textes en sanskrit, sur un artwork signé par Vincent Fouquet, (Above Chaos), l'un des maîtres français du genre. Nous sommes impatients de connaître notre prochaine destination.
DEAD VENUS : LA SCINTILLANTE
En juin 2019, la Venus suisse Seraina Telli choisissait de quitter le confort du groupe de power metal Burning Witches pour fonder son propre band nommé Dead Venus. Cela nous semble significatif de son envie de jouer la musique qu'elle aime : un prog' ouvert et très métallique.
Le trio sortait dans la foulée l'excellent « Bird In Paradise », et pour un coup d'essai, c'était un coup de maître.
Dead Venus prépare son deuxième album. Le potentiel du groupe est énorme et devrait le placer parmi les incontournables. On y croit à fond !
GRORR : LE FASCINANT
Incroyable Grorr ! Concept-album après concept-album, ces Palois nous donnent leur version humaniste du monde, nous entraînant à chaque pas plus loin dans un imaginaire puissant. C'est extrêmement brillant. Les instruments ethniques sont à l'honneur. L'univers est attachant.
En 2021, le groupe revient avec un line-up chamboulé et un nouvel album, « Ddulden’s Last Flight ». C'est à nouveau une réussite.
Morin khuur (instrument à cordes mongol), sitar, tabla (petit tambour d'Inde), diverses percussions et guimbardes ainsi que chants diphoniques sont à l'honneur sur l'album.
L'artwork est signé par la dessinatrice Emilie Tarascou.
NEPHILA : LA PSYCHEDELIQUE
Maniant joliment les harmonies vocales, ce septette Suédois s'inspire des scènes psychédéliques des années 70. Il soigne son expression visuelle et veut faire de sa musique un voyage théâtral - tous les musiciens, à l'exception des deux chanteuses, sont masqués.
Après « Growing Down » (2018), un premier single, NEPHILA , encore peu connu, revient en 2021 avec un premier album éponyme à l'artwork coloré.
Il nous a convaincu.
JPL : LA VALEUR SÛRE
Jean-Pierre Louveton, alias JPL, guitariste et chanteur du vétéran Nemo, continue d'enchaîner sous son nom propre des concepts-albums d'un rock prog' d'exception.
« Sapiens », sa dernière oeuvre, est une invitation au voyage depuis les origines de l'humanité. « Deus ex Machina » , dont la très belle pochette est signée Stan W Decker est le second volet de cette trilogie.
ALTESIA : LE PRODIGE
Avec « Paragon Circus » (2019), un concept-album à propos de la face sombre de l’homme et d’un monde arrivé à son terme, Altesia, groupe bordelais, s'impose sur la scène prog' française en un album.
Six pistes pour une durée d’environ cinquante-six minutes !
Le très bel artwork est signé Nihil, (https://www.nihil.fr/).
Le second opus est en route ; il pourrait faire très mal.
DID : LE PRESTIGIEUX
Sorti en 2017, DID traite du syndrome de l'identité dissociative.Le projet est initié par des routiers de la scène prog' française. Le chant est tenu par des cadors du Metal, tels que la redoutable Maggy Luyten ou le funambule Michaël Sadler (Saga).
Le casting est heureux, les guests se sont déchirés et le résultat est réjouissant.
ANTHON NORWELL : LE PROLIFIQUE
Inépuisable Anthon Norwell ! Il enchaîne les projets et les albums, tantôt instrumentaux, tantôt concept, toujours progressifs, au rythme de trois à quatre par an, sous les noms de Anthon-Norwell Experiment, de , Synesthesia, et de quelques autres patronymes...
Entouré d'une équipe de fidèles (Martial Prevel, Sam Guerrier, Jemina Robineau) Anthon continue à tisser son univers d'exploration perpetuelle. Son nouveau projet s'appelle C-Of-C.
NINE SKIES : L'EXQUIS
Formé en 2021, Nine Skies sort deux albums, en 2017 et 2019. il revient en 2021 avec « 5.20 », un album extrêmement léché dont l'enregistrement a nécessité pas moins de douze musiciens, parmi lesquels figurent Steve Hackett (Genesis), son frère John, et Damian Wilson (Treshold, Headspace).
« 5.20 » tire son titre d'une anecdote concernant le manque de ponctualité chronique du bassiste du groupe niçois.
La pochette de l'album est une reproduction partielle de « Call The Doctor », un tableau que le peintre de l'absurde Michael Cheval a réalisé en 2020.
PINIOL : L'AVANT-GARDE
PinioL est une hydre à sept têtes : deux batteurs, deux bassistes, deux guitaristes et un clavier, conjugaison de deux groupes bien déjantés : Poil et Ni.
Fréquentant les mêmes scènes de la région lyonnaise, les deux formations unissent leur noise avant-gardiste pour enregistrer « Bran Coucou », un album étonnant présenté dans un artwork signé Willy Ténia. Piniol est un poulain de l'écurie Dur et Doux, petit collectif très inventif spécialisé dans le rock in opposition.
La suite tout de suite :
Republic Of Rock'N Roll, "Baudelaire Le Revenant" (2021)
Le 05/08/2021
Groupe : Republic of Rock'n Roll
Album : « Baudelaire Le Revenant » (25/06/2021 - M&O Music)
Genre : Rock
Origine : Paris
On aime : une transposition pleine de fraîcheur
Par Ahasverus
REPUBLIC OF ROCK'N ROLL « Baudelaire Le Revenant » (25/06/2021 - M&O Music)
« Baudelaire était un punk défoncé du matin au soir ! » affirmait en 2020 le romancier Jean Teulé à l'hebdomadaire Le Point.
(retrouvez l'interview intégrale ici : https://www.lepoint.fr/livres/jean-teule-baudelaire-etait-un-punk-defonce-du-matin-au-soir-24-10-2020-2397800_37.php)
Charles Baudelaire n'a pas volé cette réputation, lui qui s'opposait aux valeurs bourgeoises de sa famille, qui goûtait aux paradis artificiels, participait à la révolution de 1848, menait une vie dissolue et décédait de la syphilis.
Il se verrait condamné pour la hardiesse de ses poésies. Publiées en 1857, « Les Fleurs du Mal » vaudront à leur auteur et à leurs éditeurs une forte amende pour outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs. « L’odieux y coudoie l’ignoble ; le repoussant s’y allie à l’infect », critiquera Gustave Bourdin dans Le Figaro du 05/07/1857. On était à l'époque où Flaubert dut répondre devant le même tribunal de la Seine de la conduite indigne d'Emma Bovary. Flaubert sera acquitté. Baudelaire point. L’ouvrage sera censuré et amputé de six poèmes : À celle qui est trop gaie, Les Bijoux, Le Léthé, Femmes damnées, Lesbos, et Les métamorphoses du Vampire quitteront la nouvelle édition.
A la demande de la Société des Gens de Lettres, la condamnation sera tout de même révisée en 1949, et la Cour de Cassation réhabilitera le poète et ses éditeurs.
REPUBLIC OF ROCK'N ROLL
C'est en cette année 2021 au tour du groupe Republic Of Rock'N Roll de rendre hommage à Baudelaire, dont on fête le bicentenaire.
Au travers d'un album d'une durée de trente et une minutes, qui prend pour titre « Baudelaire Le Revenant », les Parisiens on choisi d'adapter dix poèmes, et c'est l'une des pièces licencieuses (« A celle qui est trop gaie ») qui ouvre l'album.
Alternant les mélodies douces et les hymnes rock, Republic Of Rock'N Roll ne prend avec l'auteur que les libertés nécessaire à la musicalité, proposant un album à la fois esthétique, énergique et actuel. Le groupe trouve l'équilibre et le tempo pour s'approprier une oeuvre qui reste moderne et régurgite la langue du poète en un rock très frais qui lui donne, autant que de besoin, un léger bain de jouvence.
Quatrième album de Republic Of Rock'N Roll, « Baudelaire Le Revenant » est illustré par le clip « J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans»
Baudelaire est enterré au cimetière du Montparnasse.
Déjà mis en musique par Léo Ferré ou Bernard Lavilliers, il trouve vie à nouveau à travers « Baudelaire Le Revenant ».
L'album est disponible sur vos plateformes depuis le 25/06/2021. (liens in fine)
Les Liens :
Le 05/08/2021
Groupe : Spacegoat
Album : « Catharsis » (EP - 08/10/2021)
Genre : Metal moderne
Origine : Australie
On aime : le songwriting, le chant, la densité du jeu de guitares, l'alternance sons clair/saturé
Par Ahasverus
Ils auraient dû s'appeler « Scapegoat » (« Bouc émissaire »), puisque c'était le nom qu'avait suggéré le bassiste de cette formation australienne. Mais un malentendu transforma la proposition en « Spacegoat », qui leur sembla bien plus cool.
« C'est un nom vraiment amusant vers lequel les gens semblent graviter, et nous aimons qu'il ne semble pas vraiment déclencher instantanément d'idée préconçue » expliquait la chanteuse Erin Eddy au webzine Ever Metal.
Spacegoat naît en 2018 à cent cinquante kilomètres de Melbourne, à Bendigo, ville australienne de soixante-seize mille âmes à la scène métal quasi-inexistante.
Spacegoat puise ses influences dans un large éventail de sous-genres métalliques qui les voient explorer des éléments puissamment progressifs, des guitares djent et une alternance sons aériens et saturés.
En 2019 le quintette sort « 33 », son premier EP cinq titres.
En 2021, il annonce son retour avec six nouveaux titres réunis dans un nouvel opus :
« Catharsis »
SPACEGOAT, « Catharsis » (EP -2021)
Spacegoat introduit « Catharsis » par « Purge », un titre sur lequel les cordes dessinent d'abord de délicieuses arabesques. Les guitares tissent une toile sur laquelle se pose très vite la voix fiable d'Erin Eddy, tantôt claire, tantôt saturée. Puissant et complexe, ce morceau est une ouverture idéale.
Vient ensuite le très enlevé « Miasma ». La voix se pare d'un beau vibrato. La bio nous apprend que ce titre expose les expériences de la vocaliste avec l'anxiété et le syndrome de l'imposteur.
« Erased », qui suit, permet encore à Erin d'opérer des variations sur un tapis serré de guitares et de basse. Encore un morceau à la structure complexe et intéressante, qui semble parfois s'orienter pop rock pour vous interpeller l'instant d'après avec quelque chose de très acéré.
« Dirty Fighter » se veut plus direct et plus agressif encore, avec de la distorsion et une batterie très présente. Le morceau parle des coups de poignard dans le dos et de manipulateurs. La voix d'Erin se fait très expressive pour revenir parfois à plus de légèreté.
« Nothing » introduit à nouveau ce jeu très dense des guitares et des basses qui donne à l'album une épaisseur.
L'EP s'achève nerveusement sur « Anemnesis », qui alterne les ambiances au fil de ses sept minutes.
Avec un chant très polyvalent, et des lignes instrumentales denses et sombres qui servent parfaitement son propos, Spacegoat fait très bonne impression. On vous recommande de surveiller la sortie de son « Carthasis », solide opus de metal moderne et alternatif, qui nous sera livré le 08/10/2021.
Et pour ceux qui ne sauraient attendre, le single « Miasma », deuxième piste de l'EP, est déjà disponible. On vous colle le lien Bandcamp in fine.
Line-Up:
- Erin Eddy (chant)
- Leon Russell (guitare)
- Mighty McGrath (guitare)
- Lyndon 'Kid' Eddy (basse)
- Adam Beattie (batterie)
Les Liens :
- Bandcamp: https://spacegoat33.bandcamp.com/releases
- Facebook: https://www.facebook.com/space.goat.band
- Instagram: https://www.instagram.com/spacegoat.band/
- Twitter: https://twitter.com/spacegoatband
JEFF BLACK PUBLIE UN SINGLE PAR MOIS
Le 03/08/2021
Le Canadien Jeff Black (Gatekeeper, Encloaked) a pris le pari de sortir un single chaque mois pendant une année entière.
Il invite à ses côtés des membres de groupe de power metal ou de heavy metal tels que Adamantis, Lycanthro, Seven Sisters et Greyhawk.
Fortement inspiré par des groupes de heavy metal classiques tels que Helloween, Blind Guardian et Avantasia, ainsi que par des formations prog' telles que Fates Warning, Vola et Queensryche, vous pouvez vous attendre à ce que chaque single prenne une tournure différente.
Le 22/07/2021 il présentait « Firestarter », un clip-single enregistré avec le batteur Evgeny Gromovoy (Adamantis).
Le 03/08/2021, Jeff Black revient avec « Silence », un nouveau single en compagnie du chanteur de Lycanthro James Delbridge.
L'artwork est signé Methyss Digital Artist.
"Silence" sera disponible en vidéo le 13/08/2021.
Et, bien sûr, d'autres singles restent à venir chaque mois pour le reste de l'année !
Les Liens :
Chronique d'album : DEVOLUTION (black death), "Consumer" (2021)
Le 03/08/2021
Groupe : Devolution
Album : « Consumer » (02/07/2021)
Genre Black Metal/Death Metal
Origine : Toulouse
Par Ahasverus
Le Groupe :
- Devolution est un projet fondé par Clément Roig (Antropofago).
Clément Roig par Laura Kaczmarek - Graphisme/Photo/Web
- Il cite pour influences Death, Windir, Dissection, Amon Amarth, Dark Funeral, Deicide et Behemoth.
- Le groupe définit son univers ainsi : Devolution combine la violence et l'intensité du death metal avec les envolées grandioses du black metal mélodique afin de dépeindre les failles et les perspectives de l'humanité.
- En 2021 Devolution présente son premier album :
« Consumer »
L'Album :
- « Consumer » est un album de huit pistes d'une durée d'environ quarante-deux minutes.
- Le chant et tous les instruments sont assurés par Clément Roig.
- « Consumer », explique Clément Roig, « dépeint les difficultés qu’a l’humanité avec son environnement (écologie, civilisation, effondrement) mais également avec elle-même, en tant que société ( jugement des autres, conformisme, anxiété sociale) ».
- L'album est enregistré, mixé et masterisé au Onyx Studio de Toulouse.
- Son artwork est signé DOC'.
DEVOLUTION, « Consumer » (2021)
- « Déliquescence » est le premier single tiré de « Consumer ».
Il traite de l’effondrement actuel (et à venir) de notre société et de la manière dont les rapports de pouvoir changent dans cette situation.
- Le second single présenté par Devolution est « Aux Portes du Vide ».
Il parle de la difficulté à se laisser aller, à méditer dans un espace vide quand on est habitué à constamment réagir à des informations nous arrivant de toutes parts.
Notre Avis :
« Consumer », c'est quarante-deux minutes d'un black/death agressif et dense sur lequel les lignes de guitares retiennent l'attention et amènent un relief bienvenu. La production est à la hauteur et d'ailleurs rien n'a été négligé sur cet opus monté quasiment seul (il n'a délégué que l'aspect visuel) par Clément Roig dont il faut saluer le travail. Le résultat tient la route (des enfers), de l'artwork à la prod'. Il a de quoi nourrir la curiosité des fans de black/death, auxquels « Consumer » est clairement destiné. A découvrir.
Tracklist :
01 - Aux Portes du Vide
02 - Le Poids du Jugement
03 - De l’Étincelle à la Conflagration
04 - Au Crépuscule de l’Humanité
05 - Déliquescence
06 - Vestiges
07 - Écimer l’Âme
08 - Chaos Cérébral
Line-up sur scène :
- Clément - Vocals & Guitar
- Antoine - Guitar
- MAD - Drums
- Lunel - Bass
Les Liens :
Crédits photographiques :
Le 02/08/2021
LE 16/07/2021 LE GROUPE BRITANNIQUE JASON PAYNE & THE BLACK LEATHER RIDERS SORTAIT «THE ABYSS», SON PREMIER EP.
Jason Payne raconte :
« Écrire cet EP a été une expérience sensationnelle pour moi. Les paroles sont très personnelles et les gars et moi avons mis tout notre cœur et notre âme à le faire. C'est le travail le plus puissant, le plus audacieux et le plus lourd que nous ayons jamais fait jusqu'à présent. Je crois que cela définit de nouvelles normes pour nos futurs travaux et je ne pourrais pas être plus fier de ce que nous avons accompli en créant une œuvre aussi unique. Nous l'avons appelée The Abyss en raison de la période sombre que nous avons traversée avec la pandémie. Pourtant, plonger dans un gouffre, pour nous, ne signifie pas forcément toucher terre et mourir, mais renaître. Si nous apprenons quelque chose de la vie, c'est parce qu'à chaque fois que nous devons affronter un chemin difficile, nous devons trouver un moyen de surmonter les obstacles. Ces morceaux sont pleins de rage, de folie et d'humeurs introspectives. Plongez avec nous dans les ténèbres. »
La sortie de cet EP a été accompagnée par le clip « The Purge ».
Tracklist :
1. The Dark (feat. Daisy Pepper)
2. Breathing Rage (feat. Andy Martongelli)
3. The Purge
4. Vicious
5. Lost
6. Thoughtless
Les Liens :