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1914 (Black Metal), Where Fear And Weapons Meet
Le 19/10/2021
Groupe : 1914
Album : « Where Fear And Weapons Meet » (22/10/21 - Napalm Records)
Genre : Black Metal
Origine : Ukraine
On aime : La composition, le développement du concept
Par Ahasverus
« Là, loin, loin de la mer/
Il y a mon village/
Il y a la Serbie. »
C'est par cet air traditionnel serbe (« Tamo Daleko »), très populaire durant la première guerre mondiale et qu'on jouera aux funérailles de l'inventeur Nikola Tesla, que nous accueille « Where Fear And Weapons Meet », le nouvel album des Ukrainiens de 1914.
Puis des coups de feu, des cris, le tumulte.
Nous voici plongés à Sarajevo. Le nationaliste Gavrilo Princip vient d'assassiner l'archiduc François-Ferdinand.
Chacun sait qu'alors le jeu des alliances entraînera un conflit généralisé, plongeant le monde - l'Europe surtout - dans ce qu'on appelera « la première guerre mondiale ».
« Welcome To Sarajevo » éructe 1914, formation ukrainienne née précisément cent ans plus tard et dont l'oeuvre se nourrit de ce qu'on a nommé « la grande guerre ». Son black metal épique apporte toute la noirceur nécessaire au fléau.
Ce nouveau concept-album - le troisième du groupe - s'attache plus particulièrement à la vie des soldats et nous conduit sur divers théâtres d'opérations tels que la crête de Vimy, Messines, au coeur des mines (ces galeries creusées pour faire s'écrouler les tranchées). 1914 s'éloigne donc des sentiers battus du chemin des Dames (par exemple) en abordant le conflit par des épisodes marquants mais moins connus, tel celui des Harlem Hellfighters dans le morceau « Don't Tread On Me ».
1914 explique :
« Where Fear and Weapons Meet poursuit la thèmatique que nous avons commencé sur The Blind Leading the Blind - avec une différence majeure : ce sont des histoires d'espoir où la plupart de nos personnages restent en vie, deviennent des héros et retournent chez eux. Oui, il s'agit toujours de la peur, de la mort et de l'absurdité de la guerre, mais l'espoir est la seule chose à laquelle le soldat s'accroche. Et une bonne part de chance aussi. »
La patte historique de l'album est renforcée par des extraits d'archives sonores ou par la lecture de documents, telle cette lettre annonçant la mort du soldat AG Harrison le 20 mai 1918, mise en musique sur « And a Cross Now Marks His Place » en septième piste de l'opus.
1914 expliquait à propos de ce titre :
« Il s'agit d'une vraie lettre, écrite à la main par un officier britannique et adressée à la mère d'un soldat décédé au combat. Ce n'était pas un formulaire standard envoyé en masse, mais plutôt un message personnel. Il décrit la mort de son fils, ajoute des mots pour la consoler et souligne à quel point la Couronne est fière de lui, une autre victime du massacre entre les Empires. »
Et oui, vous l'aurez noté, c'est Nick Holmes, le chanteur de Paradise Lost qui prête sa voix à ce « And a Cross Now Marks His Place ».
Autre invité inattendu, le musicien Sasha Boole (du groupe de dark folk Me And That Man) sur l'interlude aux sonorités celtiques « Coward », qui trouve sa place au centre de l'album.
« Nous ne chantons pas les chansons, nous racontons les histoires ! » nuançait 1914.
Le concept est fouillé, en recherche d'originalité. Mais c'est bien à un album de musique blackened death metal épique que nous avons affaire, avec un chant très bien placé qui reste compréhensible, ce qui est une plus-value dans une telle entreprise.
L'équilibre de l'album est assuré par une structure solide : son intro, l'interlude et l'outro, ainsi que les diverses captations d'archives, installent l'ambiance et contribuent à faire de « Where Fear And Weapons Meet » un concept-album orchestré et ficelé de main de maître. Ses qualités sont évidentes et il force le respect, imposant sa réussite de bout on bout, avec le petit quelque chose en plus ; « And a Cross Now Marks His Place » sort indéniablement du lot par son ambition, son audace, son travail, son traitement et sa singularité, et on ne peut que vous le recommander.
Notez que la tournée européenne de 1914 passera par Toulouse (Le Rex) le 22/03/2022, Lyon (Rock'N Eat) le 31/03/2022, Colmar (Grillen) le 18/04/2022 et Paris (Le Gibus) le 19/04/2022.
L'album sera disponible aux formats :
- CD Digipack
- Double Vinyle Noir incluant un livret 12"
- Double Vinyle Vert sombre incluant un livret 12" - édition limitée à 400 exemplaires
- Triple Vinyle marbré Rouge transparent et Noir (incluant le double-vinyle de l'album, un livret 12", un vinyle bonus, un poster et un patch) - édition limitée à 400 exemplaires
- Album digital
1914 par May Lee
Line-up :
- 9. Westpreußisches Infanterie-Regiment Nr. 176, Hptm. Ditmar Kumarberg - chant
- The 51st Highland Division, 1/9th Bn. 2Lt. Liam Fessen - guitare
- 307th Infantry Regiment, Capt. Walter Wyhovsky - guitare
- Le 151e regiment d'infanterie, Cne. Armin d'Harcourt - basse
- K.K. Landwehr-Infanterieregiment Lemberg Nr.19, Obltn. Rostislaw Potoplacht - batterie
Tracklisting :
1. War In
2. FN .380 ACP#19074
3. Vimy Ridge (In Memory of Filip Konowal)
4. Pillars of Fire (The Battle of Messines)
5. Don't Tread on Me (Harlem Hellfighters)
6. Coward (feat. Sasha Boole)
7. ...And a Cross Now Marks His Place (feat. Nick Holmes)
8. Corps d'autos-canons-mitrailleuses (A.C.M)
9. Mit Gott für König und Vaterland
10. The Green Fields of France
11. War Out
Discographie :
- Eschatology of War (2015)
- The Blind Leading the Blilnd (2018)
- Where Fear And Weapons Meet (22/10/21)
Les Liens :
ENDURE THE AFFLICTION (USA), Evolve (2021)
Le 15/10/2021
Groupe : Endure The Affliction
Album : « Evolve » (EP - 15/10/2021)
Genre : Métal moderne et mélodique
Origine : Louisiane, USA
On aime : Le chant, l'énergie, , le sens du mélodique
Par Ahasverus
En août 2021, Endure The Affliction présentait « Identity », son premier clip.
Il annonçait « Evolve », le nouvel EP six titres de cette formation de Louisiane, disponible aujourd'hui 15/10/2021.
Endure The Affliction commente : « La condition humaine est une question d'expériences. Ce que vous traversez façonnera ce que vous êtes. C'est un fait incontesté. Presque tous les morceaux de cet EP visent, à partir d'un point précis, à déterminer comment on peut y répondre. Si vos expériences façonnent qui vous êtes, alors de la façon dont vous réagissez dépend la façon dont vous évoluez ; c'est en partie de la raison du titre de l'EP. Le titre se réfère aussi à notre propre évolution musicale ; cet EP est si radicalement différent du précédent, tout en restant fidèle à ce que nous sommes. Au fil du temps, nous, humains, grandissons et évoluons pour devenir quelque chose de plus grand qu'auparavant. Qu'est-ce que la vie sinon une suite d'évolutions ? »
Formé fin 2018, le groupe se compose de Tim Keith (Chant principal), Deion Lanthier (Co-Chant/Guitare), Brett Dronet (Guitare), Byron Vollmer (Chant/Basse) et Kyle Roberts (Batterie).

Les six titres de « Evolve » proposent un métal nerveux, fait de rythmiques puissantes qui servent de support à de belles lignes de guitares lead qui se répondent dans une belle complémentarité. Il emprunte autant au mélodique qu'au hardcore et sait inclure dans sa recette des ingrédients atmosphériques. Une production soignée met en évidence ces aspects du groupe.
Le chant à quatre voix est en parfaite symbiose (deux claires/deux saturées), c'est sans conteste l'une des grandes forces de cet opus,
Endure The Affliction a incontestablement quelque chose à proposer et cette proposition est si dense que vous en oublierez avoir eu affaire à un EP !
C'est sans hésitation une sortie à découvrir.
La Tracklist :
1.- Anodyne (5:11)
2.- Devil In The Sky (5:46)
3.- Identity (5:01)
4.- The Fall (5:06)
5.- The Reckoning (4:40)
6.- 2-0-2-0 (4:10)
Les Liens :
Le 14/10/2021
Le groupe de metal baroque et inclassabe Igorrr a sorti en 2020 son quatrième album « Spirituality And Distortion ». Il présente maintenant, alors qu'il s'apprête à lancer une tournée européenne avec HORSKH, un titre live extrait de cet opus : « Camel Dancefloor ».
Gautier Serre explique :
« Nous avons attendu plus d’un an et demi avant de pouvoir jouer ce titre en live, c’était un moment très important pour nous. Nous découvrions comment celui-ci sonnait sur scène, notamment avec les deux nouveaux vocalistes et notre incroyable guitariste Martyn Clément. J'ai été énormément surpris de voir l’effet que “Camel Dancefloor” avait sur le public présent. J’ai vraiment l’impression que nous venons d’atteindre un nouveau niveau de puissance avec Igorrr sur scène, c’est tout simplement brutal. »
© Svarta Photography
Les dates des soixante-quatorze shows programmés sont ici :
Le 12/10/2021
Groupe : Trumbiten
Album : « Out » (EP - 09/2021)
Genre : Heavy Metal
Origine : Suède
On aime : Le chant, le songwriting
Par Ahasverus
Quelques mois seulement après son premier EP, « Emotions », Trumbiten remet le couvert avec un quatre titres sobrement intitulé « Out ».
Trumbiten, c'est la famille Arngren, originaire de Luleå, dans le nord de la Suède.Tommy, le père, tient la batterie, la basse et les claviers. Adam, le fils, joue de la guitare et de la basse.

En 2018, ils commencent à produire des reprises de métal instrumental, avant d'entreprendre l'écriture de compositions originales. Ils tirent leurs substance d'influences heavy rock et métal, et elles sont drôlement bien régurgitées. En mai 2021, ils présentent trois titres sur un EP nommé « Emotions », avec au chant l'Américaine Leanne LeeLoo Greenman. En septembre, ils reviennent avec quatre nouveaux morceaux.
Pour la rentrée, exit LeeLoo, malgré son taf remarquable sur « Emotions » : pour défendre ses nouvelles compos, le gang Arngren fait appel à la voix testosteronée de Léonel Silva (Mindfeeder). Côté guitares, c'est João Miguel, de Enblood, que les Suédois sont allés débaucher au Portugal...
Tout classique qu'il soit, le heavy de Trumbiten fait son effet. Une pincée de Dee Snider ici (« Break Out »), un petit côté Maiden là (« Loner »), et l'entreprise familiale devient une multinationale tout à fait crédible.
S'il n'en est encore qu'au début du chemin, Trumbiten a néanmoins présenté deux EP d'une grande qualité, avançant avec un goût sûr sur un parcours jalonné par un songwriting efficace. On ne peut que vous recommander ce groupe au potentiel heavy certain. Il pourrait s'inscrire durablement dans notre horizon métallique s'il continue à faire les bons choix et s'il parvient à trouver sa stabilité. A découvrir et, plus encore, à suivre !
Line-up :
- Tommy Arngren - batterie, basse, claviers
- Adam Arngren - guitare, basse
- João Miguel - guitare
- Leonel Silva - chant
SERAINA TELLI : UNE COVER et UN EP de DEAD VENUS
Le 10/10/2021
Très active sur les réseaux sociaux tandis qu'elle prépare le second album de Dead Venus, la blonde (quoique verte en ce moment) Seraina Telli affectionne particulièrement les covers et en présente régulièrement dans des registres musicaux très larges.
Seraina Telli par Thierry Schmidli
C'est cette fois au répertoire de la Canadienne Sarah McLachlan que notre Suissesse s'est frottée.
Son choix s'est porté sur le titre « Angel ».
Elle explique : « C'est un morceau que je chante très souvent. Cela n'a rien à voir avec les paroles, mais avec des chansons comme celle-ci, je ressens vraiment ma voix naturelle, sans aucun effet ou quoi que ce soit. Les chanteurs de metal et de rock donnent la plupart du temps tellement de puissance lorsqu'ils jouent que nous oublions parfois ce que c'est que de chanter sans aucune pression. Pendant longtemps dans cette vie, je n'ai pas pu accepter ma voix telle qu'elle est, et je l'ai poussée très fort parce que je pensais que ce serait plus spécial de cette façon. Mais aujourd'hui je sais ; chaque voix est TRÈS spéciale ! Parmi tous les autres instruments géniaux, la voix est toujours la seule chose que vous ne pouvez pas remplacer - et je veux dire qu'il n'est PAS possible de la remplacer. Chanter est une communication et vous ne pouvez pas remplacer cela par un ordinateur. »
Quant à Dead Venus, son trio prog', il a mis en route un nouvel EP, « Playing Doll », qui sera disponible le 15/10/2021 sur toutes les plateformes de streaming. Un titre qui semble en deux parties, deux clips étant annoncés pour le 22/10/2021.
« La première partie concerne "le mal" qui veut prendre le contrôle total d'une poupée, explique le groupe. Cela fait croire à la poupée qu'elle n'est qu'un jouet, donc elle n'aura jamais l'idée de vivre sa propre vie ! Que pensez-vous qu'il se passe dans la partie II ? »
« Playing Doll » s'inscrit dans une série de quatre EP dont deux ont déjà été révélés, portant pour single « Lily Of The Valley » et « Flowers & Pain » qui donnera son titre au futur album.
Cette série d'EP est accessible depuis la page Facebook du groupe, rubrique "Boutique" :
https://www.facebook.com/deadvenus/shop/
Black Sites (Prog, USA), "Untrue" (2021)
Le 10/10/2021
Groupe : Black Sites
Album : « Untrue » (08/10/2021)
Genre : Prog Mélodique
Origine : Chicago (USA)
Par Ahasverus
Formé en 2016 à Chicago, Black Sites est un groupe de métal qui fait quelques emprunts au progressif et au mélodique et qui s'inspire d'éléments old school ainsi que d'un large éventail d'artistes tels que Voivod, Thin Lizzy et Black Sabbath.
Dans la suite de ses albums « In Monochrome » (2017) et « Exile » (2019), Black Sites revient avec un long format huit pistes intitulé « Untrue ».

Black Sites a traversé la pandémie qui nous frappait l'année dernière en s'attelant à ce nouvel album avec le producteur Sanford Parker, (Eyehategod, Voivod, Darkthrone). Dans cette circonstance, à l'exception d'une piste, tous les membres ont enregistré leurs parties séparément.
« Untrue » offre des lignes de guitare complexes qui raviront les amateurs de prog', tout en parvenant à garder de la fluidité dans ses compositions. Le mélodique est un maître mot, même si c'est le prog' qui sert à tisser un album qui sait se parer de choeurs épiques.
Le chant est assez haut. On pensera par comparaison au timbre d'un Paul Stanley.
« Untrue » garde l'équilibre entre le sophistiqué et l'abordable. Naviguant sur de larges courants, il pourra attirer dans ses filets les amateurs de prog' tout autant que les fans de hard ou de mélodique.
On vous recommande l'écoute de cet album vivifiant et bien calibré.

Line-Up:
Mark Sugar – Chant, guitare
Ryan Bruchert – Guitare, chant
Garry Naples – Batterie
Les Liens :
URIEL (Prog Symphonique), "Multiverse" (2021)
Le 10/10/2021
Groupe : Uriel
Album : « Multiverse » (25/10/2019 - réédition 01/10/2021)
Genre : Métal progressif et symphonique
Origine : Montreal
On aime : la mise en opposition chants clair/saturé, le son des cordes
Par Ahasverus
Uriel était initialement un projet studio monté à Montreal par le guitariste Dave Hazel et le bassiste Philippe Paquette.
Le duo décide peu à peu d'étoffer son line-up jusqu'à son format actuel (détail in fine).
Uriel propose un métal sympho-progressif nimbé de sonorités celtiques, death et mélodiques.
Outre les instruments habituellement dévolus au genre metal, il pratique le violon, le violoncelle, la harpe, instruments qui lui confèrent une signature singulière. Ajoutons que ses influences sont aussi multiples que ses possibilités.
Uriel se signalait en 2017 par « Dwelling Perersity », un clip très soigné que nous ne résistons pas au plaisir de partager. Il donne une belle synthèse de la complexité et de la qualité de l'univers des Québecois.
Uriel véhicule son univers à travers deux chants (en anglais) : celui, saturé, de Philippe Paquette, et le chant clair de la harpiste Gaia Guarda ; initialement invitée à renforcer la formation le temps de deux concerts voici huit ans, elle n'en est jamais repartie.
En 2019, Uriel sort l'album « Multiverse ».
La pandémie qui frappe alors le Canada de plein fouet n'autorise aucune promotion.
Le groupe décide donc de rééditer « Multiverse » en 2021 et de le défendre comme il se doit via la jeune et très dynamique agence C Squared Music.
La formation montréalaise explique :
« Avec tout ce qui s'est passé dans le monde au cours des deux dernières années, nous avions l'impression que nous ne pouvions pas vraiment promouvoir notre nouvel album comme il le méritait. Nous avons mis tellement d'efforts, tellement d'amour dans cet album, nous pensons que faire une réédition est le seul moyen de donner à Multiverse l'amour qu'il mérite. Nous espérons que vous aimerez cet album de la même manière que nous »
D'une durée de dix pistes pour environ trente-trois minutes - format assez court pour un album de prog', l'essentiel des compositions étant d'un calibre de trois minutes - « Multiverse » a un son clair agréable qui donne aux instruments un rendu intéressant.
La voix death, très énervée, vient en contrepoint parfait du chant éthéré de Gaia Guarda dont elle ne parviendra pas à troubler la séreinité.
Assez fouillé, « Multiverse » peut nécessiter de se laisser apprivoiser pour vous dévoiler toutes ses saveurs. Le jeu en vaut la chandelle, et nous vous invitons à vous laisser glisser dans l'univers d'Uriel qui, après une intro très douce, saura vous entraîner dans sa ritournelle endiablée.
La signature est originale, la dualité du chant et l'instrumentation sont des points forts, le son est avantageux. « Multiverse » méritait cette nouvelle mise en lumière.
URIEL par Steph noel photo
Line-up :
- Basse/Chant - Philippe Paquette
- Batterie - Gabriel Harvey
- Guitare - Dave Hazel
- Chant/harpe - Gaia Guarda
- Violon - Ariane Paquette
- Violoncelle - Jessica Ricard
Les liens :
- Bandcamp: https://urielmetal.bandcamp.com/
- Facebook: https://www.facebook.com/Uriel.Metal
- Instagram: https://www.instagram.com/uriel.metal/
KILLDOZER chez SIMPLEX RECORDS
Le 10/10/2021
UN ALBUM INEDIT POUR 2022
L'excellent petit label Simplex Records, qui s'est fait une spécialité d'exhumer de nos greniers de quoi monter des vinyles inédits de formations cultes des 70's/80's (Ganafoul, Floo Flash, Villa Borghese) présentera prochainement un "nouvel" album du groupe de Givors Killdozer, auteur d'un unique album éponyme en 1980.
Christophe Simplex, le maître d'oeuvre, explique :
« Comme le "secret" a été un peu éventé, il est temps de vous révéler que la sixième référence Simplex Records sera un album 100% inédit de... KILLDOZER !
Par contre il va falloir s'armer de patience pour écouter "Lost Demos & Early Works" (c'est le titre) car il ne sera pas disponible avant début 2022 (il y a des gros délais chez les presseurs de vinyles ces temps-ci). Mais nous ne sommes plus à quelques mois près pour découvrir cette bonne douzaine de titres enregistrés entre 1977 et début 1980 (dont quelques uns à Vaugneray - fief de Simplex Records - dans le même studio que l'album "Sider Rock" de Ganafoul).
Un album saignant, explosif, à l'os, plus rugueux et brut que l'éponyme et superbe LP enregistré pour CBS en 1980, dont la pochette fait encore jaser 41 années plus tard.
Restez connectés : nous vous délivrerons ces prochaines semaines des infos et photos exclusives, voire même des titres de ce "Lost Demos & Early Works"... En attendant, Robert, Doudou et Wawa seront sur scène le 20 novembre prochain avec un alléchant (Son of) Killdozer... »
Simplex records est un label discographique 100% vinyle, 100% lyonnais et 100% réédition de titres rares ou inédits.
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