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DEVIN TOWNSEND : Le classement des albums
Le 26/05/2024
Voici le classement des albums studio de DEVIN TOWNSEND par les abonnés d'Ahasverus Le Groupe.
On commençe par le meilleur...
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N° 1 : Ocean Machine: Biomech (1997) - 14 voix
- N° 2 : Terria (2001) - 11 voix
- N° 3 : Synchestra (2006) - 5 voix
- N° 4 : Infinity (1998) / Physicist (2000) / Accelerated Evolution (2003) / Ziltoid the Omniscient (2007) / Epicloud (2012) / Empath (2019) - 4 voix
- N° 10 : Addicted (2009) / Deconstruction (2011) / Ghost (2011) / Z² (2014) - 3 voix
- N° 14 : Punky Brüster - Cooked On Phonics (1996) / Christeen + 4 Infinity's Demos (EP - 1998) / Vampira (EP - 2006) / Ki (2009) / Casualties of Cool (2014) / Transcendence (2016) / Lightwork (2022) - 2 voix
- N° 21 : The Puzzle / Snuggles (2021) - 1 voix
Ils ont dit :
- « Devin Townsend c'est un peu le Frank Zappa du Metal Prog. Le mec est divin, il a un univers bien à lui, il sait tout faire et il a une voix incroyable et un jeu de guitare unique. Ce n'est pas pour rien que Steve Vai a flashé sur ce Canadien génial et un peu barjot. » (Alan)
- « Devin, c'est simplement l'incarnation de ce que le Metal peut créer de plus intense, de plus fou, de plus débridé, de plus détendu, de plus définitif. » (Yann)
- « Ocean Machine: Biomech, impressionnant et novateur. » (Stéphane)
- « Terria est mon album de cœur, certains passages m'ont foutu les poils. » (Stan)
SYMPHRESS (metal progressif), Pseudo (26/02/2024)
Le 26/05/2024
Symphress propose aussi bien un métal progressif classique que des morceaux chantant l'Europe de l'Est, tel l'instrumental « Ukrainian Dances », particulièrement sympa.
Par Ahasverus
On n'a pas souvent l'occasion de voir passer des groupes de Metal roumains par ici, non qu'il n'y ait pas de public pour le Metal en Roumaine, bien au contraire, le pays est mieux loti que la France sur ce point, mais les échos de ses formations, à part peut-être Dirty Shirt et encore, passent sous nos radars français.
On profite donc de cette galette sympa, même si elle date déjà du mois de février 2024, pour laisser parler l'un de ses ambassadeurs : SYMPHRESS.
SYMPHRESS par Alexandra Todea
Le line-up de Symphress est constitué de six musiciens, avec un chanteur et une chanteuse qui se partagent les lignes vocales.
Originaire de Cluj-Napoca, en Transylvanie, SYMPHRESS n'est pas un lapin de six semaines : il met le pied à l'étrier en 2015 et se fait les dents comme projet acoustique et ambient. Il donne son premier concert en 2016, sillonne la Roumanie pour quelques festivals, sort une demo en 2017 et son premier album, « Father Time – Part I », en 2023. L'EP « Un Cantec Simplu » (traduire : une simple chanson) suit à la fin de la même année. L'expression « il faut battre le fer tant qu'il est chaud » doit avoir son équivalence au pays d'Emil Cioran puisque « Pseudo » sort quelques mois plus tard, le 26/02/2024.
« Pseudo » est un cinq pistes, mais sa durée avoisine les trente-sept minutes, avec une pièce dépassant allègrement les douze minutes.
Musicalement la proposition est très diversifiée et Symphress propose aussi bien un prog' classique que des morceaux chantant l'Europe de l'Est, tel l'instrumental « Ukrainian Dances », particulièrement sympa, sur lequel la flûte d'Andrei Oltean (Solomonar) fait merveille.
La galette est intéressante dans son ensemble et les compositions plutôt captivantes sont variées et fortes de leurs personnalités, comme « The Golden Pig », douce et pop rock, et « Pseudo », massive et classique, ou encore « Wraiths », avec sa conclusion synthwave.
Le travail instrumental est bien fait et le chant masculin/féminin offre une belle complémentarité.
L'album est soutenu par le clip « Power And Poison ». Il vous attend sur toutes les plateformes.
BLOODORN (power mélodique), Let the Fury Rise (24/05/2024)
Le 26/05/2024
Un power offensif et technique qu'un certain metal extrême pousserait au dévergondage.
Par Ahasverus
Des membres de Sirenia, de Freedom Call, et de Silent Winter réunis dans un projet de power metal mélodique c'est possible : Nils Courbaron l'a fait !
Le guitariste de Sirenia et de Dropdead Chaos souhaitait monter un projet dont il serait maître d'oeuvre et où pourraient s'épanouir sa virtuosité d'exécutant autant que son talent de compositeur.
Nils rassemble donc autour de lui trois musiciens particulièrement chevronnés : Mike Livas au chant, Francesco Saverio Ferraro, le bassiste de Freedom Call avec qui Nils avait sympathisé en tournée, et son camarade de Sirenia le batteur Michael Brush.
Ce line-up constitué, Nils sort de ses tiroirs des compositions dont les bases ont été jetées voici une dizaine d'années. Ainsi se construit, avec l'aide de HK Krauss (Vamacara Studio), « Let the Fury Rise », le premier album de BLOODORN.
Bloodorn est un jeu de mots tiré de l'Anglais blood et de Blôdörn, une mise à mort norroise qui consistait à ouvrir le dos d'une personne pour en sortir les poumons et les déposer sur les épaules comme des ailes (on traduit Blôdörn par Aigle de sang).
« Let the Fury Rise »... Le titre de l'album, on vous le garantit, n'est pas usurpé !
Affirmer qu'il y a de la virtuosité à tous les étages, ce n'est pas non plus jeter des paroles en l'air !
Le niveau de Bloodorn est purement monstrueux et il fait saillie partout, magistralement mis en évidence !
« Let the Fury Rise » est impressionnant à chaque piste, et la notion de supergroupe prend ici tout son sens. Le power metal de Bloodorn montre bien ses racines, mais aussi ses canines : il n'entend pas rester dans le peloton et il se détache en percutant le genre avec une agressivité qui prend le point à chaque assaut.
Bloodorn affole (« God Won't Come », « Let the Fury Rise », « Six Wounded Wolves »), et sa vitesse d'exécution donne le tournis.
La rythmique vous hâche sur place. Par dessus, Mike Livas accumule les prouesses, tenant des notes fabuleuses, jusqu'à l'inattendu chant lyrique de « Six Wonded Wolves ».
En surcouche, Nils Courbaron parcourt la gamme avec un toucher flamboyant, agile et savoureux.
L'ensemble devrait être brutal, il file à deux cents à l'heure. Pourtant c'est fluide et aussi sûr et confortable qu'un TGV en première classe ! L'agencement de certaines lignes de chant peut même faire penser à du Tobias Sammet (Edguy, Avantasia) en mode speedé (« Tonight We Fight », « God Won't Come »).
Nils Courbaron remplit donc à la perfection son cahier des charges en proposant un album de power metal moderne où les compositions sont bluffantes et où la virtuosité de chacun des musiciens irradie chacune des chansons, ne laissant sur la touche ni un instrument, ni un auditeur, ni un morceau.
Chaque titre pourrait prétendre à devenir le prochain single. L'ensemble peut se définir comme un power offensif et technique qu'un certain metal extrême pousserait au dévergondage (« God Won't Come »).
Le talent collectif est de tous les instants. Des morceaux comme « Under The Secret Sign » explosent comme des bombes et expliquent peut-être le sang sur le logo.
Bloodorn conclut sa galette par une cover reliftée du morceau « Square Hammer » de Ghost.
Nils Courbaron a gagné son pari. « Let the Fury Rise » est une réussite, la proposition qu'on espèrait d'un garçon et d'une équipe de ce niveau, une déflagration. Il mérite clairement 10/10, individuellement, collectivement.
C'est une sortie Reaper Entertainment, qui signe un joli coup en abritant ce poulain dans son écurie.
L'album est disponible depuis le 24/05/2024.
P.O.D. (neo metal), Veritas (03/05/2024)
Le 26/05/2024
Le neo-metal de P. O. D. reste dans la course et lui permet, trente-deux ans après sa formation, de continuer à proposer quelques morceaux qui tutoient les étoiles.
Par Ahasverus
P. O. D. par Alicia Hauff
Sonny Sandoval, chanteur de P. O. D., annonçait la couleur : « Nous avons peut-être créé notre meilleur album à ce jour ! » Il était rejoint par le bassiste Traa Daniels qui affirmait qu'il s'agissait de l'un de ses albums favoris de la discographie du groupe.
« Veritas », c'est le nom de ce onzième long format des Californiens, est sorti le 03/05/2024.
Après trois décennies de carrière, la formation n'a pas fondamentalement changé de son. N'empêche, la conception de « Veritas » a connu quelques péripéties. Côté batterie, Alex Lopez (Suicide Silence) remplace Wyv Bernardo, écarté au moins provisoirement de P. O. D. suite à des tensions internes. Du neuf également dans le processus de composition : le COVID a contraint les quatre musiciens à composer à distance, ce à quoi ils n'étaient pas accoutumés.
Le résultat semble convenir parfaitement au quatuor californien.
P. O. D. n'avait rien proposé de neuf depuis l'album « Circles » (2018). Le nouvel opus marque trente-deux ans de carrière par un onze pistes avec trois featurings : Randy Blythe (Lamb of God) pour la chanson « Drop » qui ouvre l'album, Cove Reber (Saosin) pour le titre « This Is My Life », et enfin sur « Afraid To Die » Tatiana Shmayluk, chanteuse de Jinjer et épouse du batteur Alex Lopez.
Puissant et sobre, « Veritas » court sur trente-quatre minutes, proposant un neo-metal bâti sur des mélodies facilement mémorisables.
P. O. D. privilégie les formats courts (« This Is My Life ») avec un seul morceau dépassant 03:30, quatre des onze pistes préférant carrément rester sous la barre des trois minutes.
La recette hip hop/metal reste actuelle et pleine d'énergie (« Drop », « I Got That », «Breaking ») et permet de passer l'épreuve du temps sans outrages.
Tandis que d'autres rassurent par leur potentiel, on déplorera pourtant que certains morceaux s'épuisent en dévoilant leur argumentaire trop rapidement (« We Are One », « Dead Right », «Breaking », « Lies We Telll Ourselves »).
Dans l'ensemble, le neo-metal du groupe de San Diego reste cependant dans la course et permet à P. O. D., trente-deux ans après sa formation, de continuer à proposer quelques morceaux qui tutoient les étoiles (« Afraid To Die », « I Won't Bow Down »).
Le 26/05/2024
Par Dam' Aël
Il est des périodes où les surprises sont grandes voire magiques ! Si la semaine dernière (16 mai 2024) la rencontre avec Wings of Steel avait tenu ses promesses mirifiques sur la scène des Etoiles à Paris, l'ascension de nos Niçois (dans leur propre registre) The Queen Show ne l'est pas moins.
Avec des débuts très prometteurs,
- je vous renvoie à leur première prestation dans le var :
https://www.ahasverus.fr/blog/the-queen-show-a-french-tribute-live-report-du-concert-du-2-juin-2023.html -
la formation a en quelques mois tracé des sillons parfaitement gravés sur la scène régionale et au-delà.
Pour rappel le quintet qui, vous l'avez compris, reprend la discographie du groupe anglais QUEEN formé en 1970, a la spécificité d'y proposer une voix féminine pour un registre masculin très typique. Une voix exceptionnelle, celle d'Isabelle Poinloup qui voyage avec une aisance manifeste et déconcertante des contrées lyriques à l'univers du Rock n' Roll en passant par le territoire de la Pop, tout en foulant le continent du jazz, un magistral périple couplé d'une prestation au piano remplie d'émotion et d'excellence. Le tout sur un instrumental parfaitement exécuté qui met en évidence l'expérience notoire des quatre musiciens Mendel Mirk à la lead guitare, Alexandre Torre à la guitare rythmique, Peter Virtanen à la basse et Franck Pasty à la batterie.
- Isabelle POINLOUP - Chant / Piano / Claviers
- Mendel MIRCK - Guitare Lead / Chant
- Peter VIRTANEN - Basse / Chœurs
- Alexandre TORRE - Guitare Rythmique / Chœurs
- Franck PASTY - Batterie / Chœurs
- Théo LAGIER - Régisseur Son
- Victor LEPORATI - Régisseur Lumière
L'évènement TV :
Si chaque mois, un(e) artiste ou un groupe est accueilli sur la scène de music.box, entre live et interviews, la personnalité et l'univers de talents musicaux régionaux, confirmés ou débutants est mis en avant pendant près d'une demi-heure. C'était le cas de The Queen Show, ce mercredi 22 mai.
music.box
Avec The Queen Show et Coco
Mercredi 22 mai à 00.10 sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur et sur france.tv
Trois interprétations magistrales de Bohemian Rhapsody, (A Night At The Opera - 1975), Under Pressure (Hot Space - 1981) et Show Must Go On (Innuendo - 1991) et une émotion des plus frissonnantes qui ravivent si tant est qu'il faille raviver nos souvenirs pour QUEEN, que THE QUEEN SHOW a su s'approprier dans leur interprétation à la fois respectueuse des hymnes originels mais revisitée par nos Niçois en mode superbe hommage au quartet britannique mythique. Une interview et quelques informations supplémentaires sont à découvrir pour compléter l'ensemble.
Pour vivre ces 26 minutes avec THEQUEENSHOW :
https://www.france.tv/france-3/paris-ile-de-france/musicbox/5991414-the-queen-show.html
contact@thequeenshow.com
PASSWORD: MusicBox!1
A venir :
THE QUEEN SHOW - TRIBUTE QUEEN
28/02/2025 - 20:00 à 22:00
CASINO TERRAZUR
421 avenue de la Santoline - Polygone Riviera - 06800 CAGNES SUR MER
THE QUEEN SHOW est un spectacle en hommage à un des plus grands groupes de l'histoire du rock : QUEEN !
Une équipe de cinq musiciens dont Isabelle Poinloup chanteuse connue pour avoir interprété Carmen de Bizet au Théâtre du Châtelet à Paris avec Jean-François Zigel.
Le résultat, tant au niveau des chœurs que pour la partie instrumentale, est à couper le souffle !
https://www.casinostranchant.com/billetterie.asp?cagnes-sur-mer
Les liens :
- https://www.facebook.com/the.queen.show.french.tribute
- https://www.thequeenshow.com/
- http://the.queen.show
- http://the.queenshow
- https://www.casinostranchant.com/billetterie.asp?cagnes-sur-mer
QUINTANA / POUPAUD - Le feu sacré
Le 25/05/2024
« J'ai recroisé Yarol en partageant l'affiche d'un festival. C'est une belle personne qui aime partager, un vrai musicien rock, qui ne se prend pas la tête et qui aime jouer. »
Par Ahasverus - Photographies : Jessica Calvo.
Quintana Roo, Liga Quintana, Quintana Dead Blues eXperience... Plus de vingt ans qu'il bourlingue, Piero, lui qui a toujours baigné dans la musique, lui dont la grand-mère était premier violon à l'orchestre de Chambéry. Avantage ? Inconvénient ? Education musicale au conservatoire dès l'âge de sept ans, passage obligé par le solfège et la flûte. Mais il la trompe avec une basse dès ses dix-huit ans, plus attiré par Duran Duran, INXS et le rock espagnol que par la musique classique.
Ce chemin mène droit à ses premiers groupes, à la naissance de Quintana Roo, qui joue pendant sept ans dans toute la France et en Espagne. Mais après trois disques, Quintana Roo s'effrite. « Je me suis retrouvé seul comme un con avec ma basse et j'ai dû me mettre à la guitare pour m'accompagner ». Nouveau projet, Liga Quintana. Ca marche bien, très bien, même. Des centaines de dates, quatre disques, un film documentaire. Mais l'histoire se répète : Liga Quintana s'arrête en 2011. Vaincu Piero ? Jamais ! « Faire de la musique, tourner, c'est un peu maladif chez moi je décide immédiatement de continuer, mais seul cette fois-ci. ».
Sous le nom de Quintana, solitaire et libre, Piero enchaîne les collaborations. En 2017, il fait ses premières dates seul en scène sous le nom de Quintana Dead Blues eXperience. « J'avais déjà joué seul, auparavant, notamment en première partie de Christine & The Queen et de Gaëtan Roussel et sur quelques festivals, et l'idée, même si c'est flippant, me plaisait. » Il enregistre les albums « Older » et « One Of Us » ainsi que l'EP « 4 Lost Songs ». « Je sais aussi qu'un jour je remonterai un groupe, assure-t-il, mais je ne me pose pas de question... » C'est cependant le Quintana Dead Blues eXperience qui revient avec « Wild As Fire », un nouveau single réalisé avec Yarol Poupaud.
Piero se souvient de ce jour où leurs chemins se sont croisés : « La première fois où j'ai partagé la scène avec Yarol Poupaud, c'était en ouverture de Johnny Hallyday, en juillet 2015 à Aix les Bains ! Mais on n'avait pas échangé ! » Le monde est petit, Piero est toujours à l'arpenter, Yarol Poupaud aussi. Ils ne perdaient rien pour attendre... « L'année dernière, en juin, j'ai fait trois dates dans l'Ouest, en ouverture de son projet en solo Yarol, et c'est là qu'on s'est rencontrés ! Je suis même monté sur scène avec lui, pour une sorte de Jam sur I Wanna Be Your Dog ! » La graine était plantée : « Après le dernier concert, dans les loges, il m'a proposé d'enregistrer un truc chez lui, dans son studio, et de là est née l'idée de ce maxi 45 tours, avec ce titre Wild as Fire, que j'ai amené et qu'il a réarrangé. »
Encore et toujours sur les routes, Piero conclut : « Depuis, j'ai recroisé Yarol en partageant l'affiche d'un festival à Vannes, avec FFF. C'est une belle personne qui aime partager, un vrai musicien rock, qui ne se prend pas la tête et qui aime jouer ; dans le premier sens du terme. "A l'ancienne", comme j'aime. »
« Wild As Fire » est disponible depuis le 24/05/2024 sur vos plateformes habituelles ou en maxi 45 tours.
Le lien :
MAYHEM : Le classement des albums
Le 24/05/2024
Voici le classement des albums studio de Mayhem par les abonnés d'Ahasverus-Le-Groupe.
En commençant par le meilleur...
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N°1 : De Mysteriis Dom Sathanas (1994) - 5 voix
- N° 2 : Deathcrush (EP - 1987) / Grand Declaration of War (2000) - 3 voix
- N° 4 : Pure Fucking Armageddon (démo - 1986) / Wolf's Lair Abyss (EP - 1996) / Chimera (2004) / Esoteric Warfare (2013) / Daemon (2019) - 2 voix
- N° 9 : Ordo Ad Chao (2007) - 1 voix
Ils ont dit :
- « Mayhem, c'est plus qu'un groupe, c'est un état d'esprit. » (Yann)
- « En près de quarante ans, le Black Metal a évolué, s'est enrichi, s'est diversifié, a vu naître nombre de ramifications, mais Mayhem en représente l'essence la plus impure. » (Julien)
NIGHT LASER (glam metal), Call Me What You Want (24/05/2024)
Le 24/05/2024
« Call Me What You Want » est le quatrième album de NIGHT LASER, une formation allemande qui pratique un heavy en droite ligne des années 1980.
Pour ce nouvel opus, Benno (chant) et Robert Hankers (basse), tous deux fondateurs de la formation de Hambourg en 2014, ont été rejoints par les guitaristes Felipe Zapata Martinez et Vincent Hadeler ainsi que par le batteur Ingemar Oswald, arrivés dans Night Laser après l'album « Power To Power », en 2021 et 2022.
De leur propre aveu, les frères Hankers ont laissé cette fois-ci plus de place aux autres membres du groupe pour la composition, chacun ayant pu apporter ses idées et sa vision des morceaux.
Si les riffs et les leads emporteront une large majorité, le timbre du chanteur, à peine moins aigu qu'un Vince Neil, pourra diviser.
Passé ceci, les rythmiques se montrent dans leur ensemble remarquablement efficaces (« No More Changes »), les guitares savent se faire caressantes, et l'album diversifie les pistes avec une certaine réussite. Le groupe peut aller vers le power mélodique (« Law Of The Vulture », « Fiddler On The Roof »), le rock débridé à gros choeurs (« Laser Train ») ou s'essayer à la ballade (« Travelers In Time ») au milieu d'une ambiance joyeusement glam.
C'est généralement très bien mené, et l'album a su retenir notre attention parmi les multiples sorties de ce mois de mai.
« Call Me What You Want » est disponible depuis le 24/05/2024 chez SPV/Steamhammer