Après « Mad » et « Fire », MADAM a présenté un nouvel extrait-clipé de son futur EP qui sortira le 18/03/2022.
Il s'agit d'un clip animé intitulé « Witches ».
« C'est dès la composition de ce titre que nous avons su la forme que prendrait son clip, comme une évidence », commente Madam.
Gabbie Burns, guitariste du groupe, a réalisé et animé le clip. Le cadrage a été assuré par Indiana Anders, avec l'assistance de Camila Dorf.
Madam annonce déjà une trentaine de dates pour l'année 2022, de Rennes à Lyon, en passant par Biarritz. Retrouvez toute leur actualité sur leur page Facebook.
Après « Originals » et « Thirteen » The Togs s'apprête à nous livrer son troisième album.
Il s'agira d'un quinze pistes auquel participeront pas moins de trente-quatre invités. Il ne pouvait donc s'appeler autrement que...
« Guests »
Chaque contributeur vient enrichir l'univers dual de The Togs. Apportant à cet album sa patte, son interprétation et son instrument (saxophone, trombone, trompette... voix !), il renforce le caractère singulier de chacun des titres de l'album.
Pour illustrer « Guests », The Togs a fait confiance à Véronique Voignard (VeNard), qui signe un livret de trente-deux pages réunissant les quinze visuels — un par titre — spécialement créés pour l'occasion. Vous y découvrirez également les paroles de chaque morceau et le crédit artistique.
Véronique se confie sur son approche :
« Peter Callate, auteur-compositeur, fondateur de The Togs et guitariste-chanteur voulait un objet. Je lui ai proposé l'idée de faire une création par œuvre musicale. J'avais eu le privilège d'entendre ses compositions dans son antre cachée. J'aime le challenge ! Peter Callate me laisse libre expression artistique et je suis ravie d'avoir ce privilège. Il crée l'ambiance musicale et moi l'univers visuel. »
Côté son, « Guests » a été mixé par Rémi Selles et masterisé par Franck Rivoire. Cette autoproduction a également fait appel à Stéphane Augagneur, dit Stagef, multi-instrumentiste, qui travaillait déjà avec Peter Callate sur l'album « Thirteen ». Stéphane est arrangeur et conseiller musical sauf sur les titres « Gotta Move » et « Dancing In the Crypt » arrangés par le groupe Bi!nch!.
Quelques extraits du futur opus ont déjà été dévoilés, tel le morceau « Alien ». Peter explique :
« Alien, C'est l'histoire de gens qui subissent la guerre et qui veulent fuir, passer la frontière gardée par soldats qui n'hésitent pas à lâcher leurs chiens s'ils en aperçoivent qui franchissent les barbelés. C'est l'histoire de population que l'on veut exterminer coûte que coûte, en employant tous les moyens (bombes, gaz,...) inhumains pour le faire. c'est l'histoire aussi de la résistance avec des mots, puisqu'ils n'ont pas les armes de leur tortionnaire. »
« Guests » sera disponible le 06/10/2023 en versions physiques, CD et Vinyle (double gatefold), deux vinyles transparents avec effet de fumée noire et fumée bronze et son livret de 32 pages - Édition limitée à 300 exemplaires numérotés à la main. Il sera vendu pendant les concerts ou par correspondance via la page Facebook THE TOGS.
La release-party aura lieu le même jour à Lyon.
« The Devil Always Collect » s'écoute tellement bien qu'il file comme une balle sur un lecteur en pente !
Par Ahasverus Brian Setzer amorce sa tracklist avec énergie, comme pour affirmer qu'il en a sous le pied (« Rock Boys Rock », « The Devil Always Collect ») avant de nous entraîner vers un rockabilly plus 50's, pas si éloigné de la country (« Girl On The Billboard »).
Ceci fait, le voila qui swingue (« A Dude'll Do (What A Dude'll Do) », fait des oeillades à « Cut Across Shorty » (« Play That Fast Thing (One More Time) »), bifurque vers un blues à la Gene Vincent (« The Living Dead »), flirte avec la soul (« She’s Got A Lotta...Soul! ») pour conclure par un groove jazzy à la « Fever » (« One Particular Chick »).
Rien à reprocher à ce voyage dans les 50/60's, suivez le guide, jamais nostalgique, toujours dans l'action. Pour vous démontrer que c'était pas mieux avant, il s''éclaire parfois de morceaux plus actuels, tels « Black Leather Jacket », très efficace, ou « Psycho Suzie », mélange de tradition (le rythme) et de modernité (le son).
Fidèle à ce qu'il est, à ce qu'on attend de lui, quasi académique, excellent chanteur, musicien créatif , guitariste reconnu qui discute en permanence avec son instrument (« What'll It Be Baby Doll? », « She’s Got A Lotta...Soul! », « A Dude'll Do (What A Dude'll Do) »), Brian Setzer s'y entend bougrement pour faire swinger les rythmes et pour nous régaler. Il reste l'un des gués les plus sûrs pour retourner aux sources du rock sans se mouiller les pieds dans la pantalonnade (suivez mon regard). Le rocker de New-York réussit là encore un album au pas sûr, efficace et sans faille. Si le genre vous est familier, vous n'allez pas être déçu, si ce n'est par ce constat qui vous prendra à la toute fin : c'est passé trop vite ; « The Devil Always Collect » s'écoute tellement bien qu'il file comme une balle sur un lecteur en pente ! Fans de rock, rassurez-vous : Brian Setzer n'a rangé ni sa Gretsch, ni sa banane blonde ni son perfecto ; il garde son énergie intacte, son inspiration tout autant.