BITCH BOYZ est un duo composé de Seb Alaise et d’Oliv. Leur répertoire va de l'Electro-Rock au Punk, en passant par le Stoner. Le groupe n'a pas encore d'album à son actif, mais il dispose déjà pour la scène d'un répertoire étoffé de compos originales. Il a entamé une tournée dans le Var , astucieusement nommée le "World Var Tour" par ce groupe qui ne manque ni d'énergie, ni d'imagination, ni d'humour.

Photo : Floh-design
Mais laissons Seb Alaise nous donner sa version de Bitch Boyz :
Seb : “A l’origine, en 2011, j’étais seul dans ce projet, dont le but était de balancer quelques reprises revisitées, puis de relever le défi de faire quelques compos en assurant tous les instruments moi-même, sauf la batterie que je programme sur ordi. Rapidement, vu mon talent pour les solos de guitare, je me suis dit qu’il fallait un vrai guitariste pour rendre tout ça plus crédible...
Après plusieurs années de recherche, le temps de trouver un gars prêt à enchaîner une reprise de Madonna en mode Pop-Rock/Electro pour monsieur tout le monde et une compo du genre Punk-Hardcore/Indus, l’élu arrive et il se nomme Olive ! On dispose maintenant d'une dizaine de titres, et on enregistre, en ce moment, en home-studio. Les thématiques de nos morceaux sont larges, et de plus en plus sérieuses. A l’époque des premières compos, ça partait un peu dans tous les sens : “Sky Becomes Two” décrit une ambiance film-catastrophe, tsunami et fin du monde ; “Something From the Past”, écrit par mon ami Christophe Lorentz, dévoile le côté obscur du groupe, et “Space Adventure” fait un accueil des plus chaleureux au public. Dans les dernières compos, trois titres hissent haut le drapeau de Sea Shepherd, en abordant le thème de la captivité dans les parcs marins, tels que Marineland, mais aussi dans les zoo, dans les cirques, tous ces endroits qui retiennent des animaux sauvages prisonniers et qui les utilisent comme des esclaves pour en tirer profit. Dans les prochains titres, il sera question des massacres de dauphins dans les Iles Féroé et dans la baie de Taiji, au nom d’une putain de tradition à la con, ainsi que de la pêche aux requins, qui sont mutilés pour leurs ailerons puis rejetés à la mer. La question des convictions politiques est rapidement évoquée dans un titre qui annonce bien la couleur : “Leave my Balls”. Il s’adresse tout particulièrement à ceux qui ont une fâcheuse tendance à te croquer la tête, en espérant te faire adhérer à leurs idées de merde. “Green” fait le parallèle entre les deux symboles du vert : couleur de la nature, de l'espoir, de la vie, et d'un autre côté couleur des uniformes militaires, donc de la guerre, de la mort, du mensonge...”
Bitch Boyz sait aussi faire sonner des titres plus légers : “One Season” parle de Game of Thrones, et “Here Come the Bitch Boyz, Better Than Sex Toys” joue sur les mots, les Boyz se mettant “dans la peau d’une jeune chanteuse débutante, chaude comme la braise, prête à tout pour réussir…” Bref, le plus simple c’est encore d’aller les voir sur scène pour qu’ils vous racontent tout ça dans les moindres détails…
Les Boyz poursuivent leur “World Var Tour” : il seront le 16 juin au El Mariachi à La Garde, avec Vicious Grace et Balls Out. On verra, comme l’année dernière, le duo le 21 juin à Grasse, “sur le trottoir, comme toute Bitch digne de ce nom”, précise Seb.

En 2018, BITCH BOYZ remet le couvert à Grasse.
Merci à floh-design pour son illustration et son aimable autorisation. https://www.facebook.com/floHdesign/ Merci à Seb pour son accueil et toutes ces précisions. https://www.facebook.com/biitchnoiz/
Si vous visitez sur leurs pages Facebook, n’oubliez pas le petit “Like” !