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SECOND SINGLE DE JUD'POWA

Le 21/09/2021

Le guitariste Jud'powa sortira Le 26/11/2021 chez M&O Music un album instrumental de sept titres aux influences power metal/thrash metal.

Jud'powa se présente ainsi :
« Originaire de Tours, je suis musicien et plus exactement guitariste depuis plus de dix ans. J’aime cet instrument absolument incroyable ! Je suis un fan incontestable de Kiko Loureiro, et de son parcours musical. Bien sûr, je suis aussi fan de la gamme hongroise (les musiciens comprendront). Jud’powa c’est la guitare illimitée, c’est la sept cordes, c’est du Metal instrumental français. »

Judpowa photo4Après avoir présenté « Focus », son premier single-clip en juillet, le guitariste a tiré du futur album « Awake », un nouveau clip disponible sur vos plateformes :

SWEET NEEDLES - « Shake it ! Groove it ! »

Le 20/09/2021

« Shake it ! Groove it ! »

C'est ce que vous propose Sweet Needles à l'approche de son premier album.

Ce clip réussi et déjanté a été réalisé en DIY par le guitariste du groupe, Simon Dillinger.

Formé en 2012 et auteur de deux EP, Sweet Needles est un quintette parisien qui s'est déjà distingué par de nombreux concerts et festivals en France mais aussi à l'étranger (Allemagne, Suisse, Belgique et Royaume-Uni) et qui a partagé la scène de grosses têtes d'affiche (H.E.A.T, Pop Evil, BlackBombA, Glenn Hughes et bientôt Crashdïet et Hardcore Superstar).

Sweet needles hugo josseSweet Needles par Hugo Josse

« Tormenta », le premier album de Sweet Needles, sur lequel figure ce « Shake it ! Groove it ! », est annoncé pour le 26/11/2021.

Les N'importe-Quoi d'Ahasverus : NAZARETH, "Greatest Hits" (1975)

Le 19/09/2021

« C'était mon rêve, c'était Sonia »... Moi je l'ai bien connue Sonia. Sonia Dupeyroux.

Patrick juvet
« C'était l'amour qui venait du froid », poursuit-il.
C'est vrai qu'elle habitait en plein courant d'air, à Verrières-Le-Buisson, juste à l'orée du bois. La Louise, elle n'aimait pas trop qu'on y traîne, au bois de Verrière, parce qu'il était encore hanté par le souvenir Lucien Léger, l'étrangleur. Alors elle préférait qu'on aille ramasser des chataîgnes du côté du Tapis Vert. On les faisait bouillir en rentrant. Ca nous faisait le repas.
Elle n'était pas très futée, Sonia. La preuve : on s'est suivis toute la scolarité ! Par contre, elle a toujours été la plus grande de la classe. Je me demande bien à quelle hauteur elle est rendue, maintenant...
Sonia avait une soeur, Muriel. Elle la cachait, je l'ai découvert au LEP. On était tous dans la même classe d'agents administratifs. C'était sympa le LEP, comme une petite famille. On faisait des cours de dactylographie en recouvrant les touches du clavier par des caches de couleur. Ca faisait joli. Je vous en reparlerai sûrement...
Muriel, c'était l'exacte opposée de Sonia : elle était brune, petite, d'esprit vif, charismatique (elle fumait du shit) et très sportive. Des années d'athlétisme lui avaient donné un physique en angles saillants... Rien qui fasse rêver Patrick Juvet pourtant. Pour le moins, il n'en parle pas explicitement !
A l'époque, mon pote Serge avait acheté le « No Mean City » de Nazareth.

Nazareth no mean cityMalgré son artwork de Frank Frazetta, le grand dessinateur américain de SF,  et quelques bons titres comme « Star » et « Whatever You Want »,  c'était loin d'être le meilleur album des Ecossais. Mais j'avais accroché à la voix rocailleuse de Dan Mc Cafferty, et j'avais fait l'acquisition dans un magasin d'occasion de Montparnasse d'un Greatest Hits qui nous avait permis de mieux faire connaissance.
« Greatest Hits », dans sa version 1975, contenait la plus part des standards du groupe : « Razamanaz », « Shanghai'd in Shanghai », « This Flight Tonight », « Broken Down Angel » et « Hair Of The Dog », que les Guns'N'Roses reprendraient sur leur  «  Spaghetti Incident  ».
Le seul méga-hit manquant, « Dream On », serait ajouté sur une réédition de 1989.
Ecoutez enfin « Heart Grown Cold » et vous aurez fait le tour du panorama.

NazarethJe ne sais plus comment mon « Greatest Hits » de Nazareth s'est retrouvé en possession de Muriel Dupeyroux, mais je me souviens qu'elle m'avait proposé de venir le récupérer chez elle. La bonne aubaine ! Elle devait avoir deux ans de plus que moi, Muriel Dupeyroux, et elle avait du chien. Et puis après tout, si elle avait redoublé deux fois, vive comme elle était, c'était peut-être bien pour m'attendre.
Comme le temps passant j'intéressais de moins en moins les pédophiles - et ceci ne cesserait de se dégrader par la suite, non que je le déplore mais il faut bien dire les choses - la Louise m'autorisa exceptionnellement à me rendre à Verrières un dimanche après-midi.
J'ai pris le bus pour Chatenay-Malabry. Ce n'était pas un coin où on aimait aller, nous, les gars de la Plaine, à cause des teigneux de la Butte-Rouge. Je descendais un peu avant leur quartier, à l'arrêt qu'on m'avait indiqué.
Sonia m'attendait. Sa soeur était absente, expliquait-elle, et elle m'invitait à venir récupérer mon disque, sa maison étant à deux pas. Deux pas... pour sa taille ! Moi j'en ai compté beaucoup plus !
On a marché assez longtemps en échangeant des banalités. Si je n'ai plus en mémoire l'entrée de la maison, je me souviens parfaitement de sa chambre. Sonia tenait l'album, considérant la tracklist. « J'aime beaucoup celle-ci », minaudait-t-elle en posant mon vinyle sur sa platine alors que je lui vantais les mérites de ce disque. Un craquement, quelques notes au clavier, puis la voix rocailleuse de Dan Mc Cafferty a envahi la pièce.
« Love hurts, love scars
Love wounds and marks
Any heart »


Sonia s'assit sur son lit et me regarda avec ses beaux yeux de vache. Je revois encore son pantalon marron de velours à grosses cotes, et son buste drapé d'une chemise blanche, légèrement renversé en arrière, les mains en appui sur le lit qui s'offrait.
De tous les standards de Nazareth présents sur cet album, Sonia avait retenu cette reprise kitch des Everly Brothers, le titre le plus gênant du best of. On l'écoutait dans un silence qui comptait triple au Scrabble. Quand la chanson fut terminée, j'invoquai une réunion de famille pour ne pas m'attarder, une histoire de beau-frère de passage dans la région, il faut toujours un fond de vérité pour bien mentir.
Sonia ne m'a pas raccompagné. J'ai rejoint Chatenay-Malabry à tâtons pour ne pas me perdre, puis j'ai sauté dans le premier bus. Là, j'ai réalisé que j'avais oublié de récupérer mon « Greatest Hits », et que je n'avais aucune envie de retourner. Les soeurs Dupeyroux ne me l'ont jamais rendu. Je crois même qu'on n'en a plus jamais parlé. C'était en somme leur prise de guerre après ma capitulation.
Je me souviens de Sonia, perchée sur son mètre soixante-quinze, ses cheveux blonds coupés à la garçonne qui se terminaient en accroche-coeur sur ses joues, ses longs cils, ses tâches de rousseur et sa fraîcheur champêtre...
«  Un jour peut-être dans une gare /
Et sur ma route, comme au hasard /
Elle reviendra là-bas du froid /
Elle reviendra... »

Et bien tant qu'elle revient, dites-lui qu'elle en profite pour ramener mon disque !

OSCIL (Prog), First Step On My Moon (2021)

Le 19/09/2021

Groupe : OSCIL
Album : « First Step On My Moon » (03/09/2021)
Genre : Rock/Metal progressif
Origine : Paris
On aime : le chant, le songwriting, la diversité, le son

Par Ahasverus

Oscil existe depuis 2013 et son principal compositeur, Vincent Mouge, nous décrivait ainsi son univers dans une interview en 2019 :
« La base de notre musique est Rock-Metal tout simplement ! Ingrid apporte ses influences indés à la PJ Harvey, Aubry celles du Rock authentique comme les Beatles, Florent et moi le côté Rock Metal Prog... Le but est simplement de faire des compositions qui nous ressemblent, le son vient après. »

Cinq ans presque jour pour jour après l'EP « Never Ending Road​(​s) » qui leur avait servi de carte de visite, les Parisiens reviennent avec une formation inchangée pour un huit titres d'environ quarante-huit minutes...

« First Step On My Moon »

OscilSon artwork est l'oeuvre du talentueux Above Chaos (www.abovechaos.org), l'un des meilleurs illustrateurs français, qui habille notamment les opus de Mobius.

Si la musique est signée Vincent Mouge, les textes sont de Vincent Mouge et Ingrid Denis, dont la voix est l'un des atouts de cette formation progressive. 

Le chant est donc assuré par Ingrid Denis, rejointe sur un titre par le Champenois Ludo Desa (« The Heart Of A Woman »), pièce déjà sortie sous la forme d'un single-clip.

S'ouvrant par sa composition la plus courte à la manière d'un classic rock, « First Step On My Moon » emprunte rapidement un pont progressif pour nous emmener dans un florilège de compositions où sa liberté de ton donne à son pas quelque chose de jazzy.
Il se peut qu'il vous impose  quelques écoutes pour se laisser apprivoiser, car l'étendue de son territoire est trop vaste pour être embrassée en un seul regard. Mais alors sa production impeccable vous permettra de vous glisser dans ses mélodies comme dans du velours et d'apprécier jusqu'aux détails les plus subtils de son jeu (les cymbales sur « Romance »).


Parfois métallique (« A Shropshire Lad »), d'une richesse sonore assez jubilatoire (« First Step On My Moon »), à laquelle s'ajoute encore un saxophone et une belle partie de clavier (« Romance »), Oscil nous promet la lune avec un opus d'un niveau supérieur à un prédécesseur déjà fort estimable. On est admiratif devant la finesse du songwriting, et on s'incline devant cette voix qu'on savait délicieuse, et qui parvient à se  faufiler à la suite d'un compositeur qui adore les alambics ! Et c'est orchestré avec une telle fluidité qu'on entreprend ce voyage sur la lune dans une atmosphère des plus agréables. Oscil a réalisé un opus d'une sacrée qualité, et non convenu, qui ne ressemble qu'à lui-même. On vous le recommande bien vivement.

Les Critiques :

  • « Chaque pièce possède une identité propre et développe son propre climat. »
    Plus PROG de Vous

Line-up :

  • Ingrid Denis - chant
  • Florent Jeannel - batterie
  • Aubry German - basse
  • Vincent Mouge - guitares, claviers

Oscil bandOscil par Lourdes Eiras Photographie.

Invités :

  • Bastien Brenot - saxophone sur «  Romance »
  • Jean-Philippe Massicot - piano et clavier sur  «  Romance »
  • Ludo Desa - chant sur  «  The Heart Of A Woman »

Technique :

  • Musique : Vincent Mouge
  • Textes : VincentMouge / Ingrid Denis
  • Arrangements: Oscil
  • Mixage: Andrew Guillotin - Hybreed Studios (Fontenay-Sous-Bois).

Tracklist :

1. Harlem Shadows (3'43)
2. The Pact (7'28)
3. A Shropshire Lad (5'08)
4. You (5'41)
5. Romance (7'05)
6. The Heart Of A Woman (6'41)
7. First Step On My Moon (6'59)
8. Enter The Haze (6'03)

Le Lien :

 

LE PROJET ENRAGE D'IVAN JACQUIN

Le 18/09/2021

Douze ans après la sortie de son EP, Ivan Jacquin (Foreign Rock OperaPsychanoïa) ranime The Raging Project par la perspective d'un album de onze titres intitulé « Future Days ».
Le casting européen du futur opus n'a pas été dévoilé, mais on peut faire confiance au géniteur de l'opéra métal « Foreign » qui a prouvé dans le volume II de sa trilogie qu'il sait recevoir, comme l'atteste ce « Rise 1187 » sur lequel il invitait Zak Stevens (Savatage) et Amanda Lehmann (Steve Hackett). 

Pour patienter en attendant The Raging Project à l'échéance 2022, Ivan Jacquin a remixé l'EP de 2009, un cinq titres qui révèlait une facette un peu plus rentre-dedans que celle à laquelle le chanteur/claviériste féru de musique progressive nous avait habitué. Le don d'Ivan Jacquin pour la composition n'étant plus à débattre, on ne peut que vous conseiller de jeter une oreille sur cet opus relifté.
« The Raging Project EP - Remastered » est disponible sur Bandcamp en version digitale. Cerise sur la galette, Ivan Jacquin promet à tout acquéreur un titre inédit en bonus.

Ivan jacquin raging projectLe Lien :
http://theragingproject.bandcamp.com

EXISTENTIA, "Calculating Failure" (EP - 2021)

Le 17/09/2021

Groupe : Existentia
Album : « Calculating Failure » (EP - 17/09/2021)
Genre : Death Metal
Origine : USA
On aime : la brutalité, la technique

Par Ahasverus

Nouvelle sortie d'un nouveau venu en ce mois de septembre 2021, avec le EP quatre titres « Calculating Failure », du groupe de death metal américain Existentia.

007045Existentia est né à Philadelphie durant la pandémie. Il regroupe d'anciens membres de formations du Nord-Est des Etats-Unis (Polemecist, Young Graves) qui n'ont clairement pas envisagé de faire de la figuration avec leur nouveau projet et qui vous menacent déjà de toutes leurs dents. C'est donc sans période d'observation que le trio ouvre les hostilités par un EP de death très agressif et brutal au long duquel vous n'espérerez aucun répit puisqu'il saura vous engloutir dans ses  structures alambiquées.

Ainsi ce « Calculating Failure », pour court qu'il soit, est-il une carte de visite qui ne laisse aucun doute sur le potentiel et les intentions de ses géniteurs : ils viennent percuter de plein fouet les amateurs de metal extrême avec leur opus de quatorze minutes, ramassé, puissant et ambitieux, en tous cas suffisamment teigneux pour revendiquer et défendre une place au soleil.

Pour la production des quatre titres, Existentia fait dans la dentelle en recourant au savoir faire de l'Atrium Audio (August Burns Red).

Une première sortie réussie qui n'a aucune intention de respercter la préséance ou de passer inaperçue, et un groupe qui pourrait s'inscrire durablement dans votre paysage musical extrême, il en a les moyens.                                      

Les Liens :

"UNSTOPPABLE", le nouveau clip-single de AD INFINITUM

Le 17/09/2021

La formation de métal symhonique Ad Infinitum sera de retour dans les bacs le 29/10/2021 via Napalm Records.

La seconde offrande du groupe de Melissa Bonny aura pour nom « Chapter II - Legacy ». Cette nouvelle offrande se veut « plus heavy sans pour autant sacrifier son aura originelle ».

Ad infinitum coverAD INFINITUM confie :
«  Chapter II - Legacy occupe une place très spéciale dans nos coeurs. Il représente des mois et des mois de travail acharné de la part des quatre membres du groupe, pour un résultat que nous sommes fiers d'appeler « auto-produit ». Pour cet album, nous avons décidé de travailler sans l'influence d'un producteur externe pendant le processus de composition mais de faire équipe avec Elias Holmlid pour les belles orchestrations épiques et bien sûr avec Jacob Hansen qui a enregistré [le chant], mixé, masterisé et participé à la post-production de l'album. Un son plus jeune et plus lourd qui définit Ad Infinitum comme jamais auparavant. »

 « Chapter II - Legacy » est annoncé par un premier single-clip dont le titre sonne comme une profession de foi : « Unstoppable ».


Les Suisses complètent :
 « Nous sommes très heureux de pouvoir enfin vous dévoiler le premier morceau de notre prochain album, Chapter II - Legacy. Dire que nous étions impatients de partager notre travail est un euphémisme. Nous espérons que vous apprécierez - autant que nous-mêmes - le premier avant-goût d'un album qui représente très bien l'évolution du groupe. » 

Succèdant à « Chapter I - Monarchy » (2020), le nouvel opus s'inspire de la vie de Vlad Tepes, chef de guerre roumain dont le romancier Brahm Stoker fera le personnage de Dracula.
« Chapter II - Legacy » sera disponible le 29/10/2021 aux formats digital, CD Digipack, vinyle noir et CD Digipack + patch (limité à 200 exemplaires). les pré-commandes sont accessibles  ICI.

Ad infinitum bandAD INFINITUM par Nat Enemede  - Fine Art

Line-Up :

  • Melissa Bonny (chant)
  • Adrian Thessenvitz (guitares)
  • Korbinian Benedict (basse)
  • Niklas Müller (batterie)

Tracklist « Chapter II - Legacy » : 

1. Reinvented
2. Unstoppable
3. Inferno
4. Your Enemy
5. Afterlife (feat. Nils Molin)
6. Breathe
7. Animals
8. Into the Night
9. Son Of Wallachia
10. My Justice, Your Pain
11. Haunted
12. Lullaby

BORNHOLM, "I Am War God" (clip-single - 2021)

Le 16/09/2021

Le groupe de Pagan Black Metal Bornholm sortira « Apotheosis », son nouvel album, le 05/11/2021 chez Napalm Records.

Bornholm coverIl s'agira du cinquième album de la formation hongroise qui totalise plus de vingt ans d'existence.

Il est précédé du clip-single « I Am War God », morceau alléchant porté par un véritable mini-métrage à l'ambiance guerrière, dévoilé par le groupe le 10/09/2021.

« Ce morceau parle de l'ancien instinct de guerre et de destruction de l'espèce humaine, tel un ciseau dans la main du sculpteur formant le monde alors que le temps défile de siècle en siècle. Nous vivons des temps difficiles et historiques et ce sera plus compliqué que nous ne pourrions jamais l'imaginer. Les roues tournent grâce à des pouvoirs puissants et anciens et c'est de cela que traitent les paroles. La volonté est la seule chose qui crée vraiment, qui fait avancer les événements… la volonté contre la volonté. »

Sahsnot, guitariste/chanteur de Bornholm, précise les conditions de réalisation du clip :
« La vidéo a été tournée en deux parties parmi les bois majestueux et les ruines centenaires de la Suède. En premier lieu, les scènes avec les membres du groupe, et quelques jours plus tard, celles comportant les acteurs et le scénario. C'est notre première vidéo a avoir été faite par un réalisateur professionnel, Johan Bååth, qui a par exemple déjà travaillé avec Watain. »

Poursuivant plus généralement sur l'album, Bornholm ajoute :
« Le jour est venu, le nouvel album arrive ! Son titre est Apotheosis, qui est un mot d'origine grecque signifiant déification, divinisation et glorification d'un humain à un niveau divin. Il contient onze pistes et plonge plus profondément que jamais dans notre monde musical et notre âme.
Nous avons dû faire face à beaucoup de difficultés à la fois en studio et dans notre vie privée pendant la création de l'album, mais on pourrait dire que quelque chose  préservait continuellement la naissance du disque. Rien ne s'est arrêté, pas même un seul instant, peu importe ce qu'il s'est passé. Ce fut une expérience formidable de traverser ce soulèvement alors que le monde prend une autre direction. Nous n'avons manqué de rien ; le destin était avec nous - la naissance de l'album a donc été une sorte d'expérience magique. Pas à pas, tout était en place dans les temps et, sans tolérer le monde extérieur, nous en avons construit un autre pour nous-mêmes. »

BornhomBORNHOLM par Krisztina Máté

L'enregistrement et le mix de « Apotheosis » se sont déroulés au studio SuperSize en Hongrie avec la contribution de Viktor Scheer et un mastering finalisé par Maor Appelbaum, qui a précédemment travaillé avec des groupes tels que Dream Theater, Annihilator, Mayhem ou Abbath. L'album de onze pistes sera disponible au format digital, en vinyle noir, ou en CD Digipack. Il peut d'ores et déjà être précommandé ici :
https://smarturl.it/Apotheosis